L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Qui, un jour, a tenu entre ses mains AURÉLIEN, l'un des plus célèbres chefs-d'oeuvre d'Aragon, ne l'a plus jamais quitté. On se souvient ici que le roman d'amour est aussi une remarquable fresque de l'entre-deux guerres et un dialogue intertextuel d'une grande richesse. Mais dans la lecture offerte par Olivier Barbarant, le roman est avant tout - comme l'avait dit Claudel - poème. L'auteur du présent ouvrage nous invite à porter un regard attentif au statut de Paris : car c'est tel qu'il vit la capitale, intensément, irrésistiblement, que le poète Aragon l'a inscrite dans Aurélien. Ni décor, ni motif esthétique, le paysage est force fondatrice et chair de l'écriture poétique. « Si le sang coule dans Paris, si le coeur s'y arrête aussi, si la nuit s'y abat, c'est bien qu'Aurélien fusionne avec la ville, et connaît l'expérience aragonienne de faire de son propre coeur Paris. »
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