L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
L'anesthésie affective et l'enfermement sont des expériences beaucoup plus communes qu'on ne veut bien l'avouer. Car, pour la plupart, nous ne croyons pas - ou plus - à la possibilité d'un amour véritable, vivant, puissant sans être dévorant. Et ce n'est pas l'idéologie de l'amour, telle que l'a enseignée un certain christianisme, qui peut nous être d'un quelconque secours : elle nous emprisonne au contraire dans une relation mortifère.
Lytta Basset nous montre qu'il existe pourtant en chaque personne une étonnante réceptivité à l'amour, prête à s'épanouir dès lors que l'on consent à accueillir le manque comme une bénédiction. L'amour qui se sait indigent laisse la place à un « souffle de vérité » qui déstabilise, mais pour venir à bout des confusions, blocages et ressentiments. Il mène alors à la découverte d'une « part de feu » dont on ne savait rien. Ce feu, ce souffle qui traversent tout être humain sont ceux dont parle l'Évangile. Nous sommes invités à nous y exposer, hors de toute contrainte sociale, morale ou religieuse, pour accéder à des relations affectives fécondes.
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