"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Noah Van Sciver, figure de plus en plus reconnue de la BD indé US est surtout connu en France pour les biographies fictionnelles Fante Bukowski (L'Employé du moi) et Johnny Applessed (Revival). Dans 133, rue de l'arbre mort (One Dirty Tree), il s'attaque ici à sa jeunesse.
Dernier enfant d'une grande fratrie désargentée, mormone et un peu dingue, Noah vit dans une grande maison en ruine dans une petite ville du New Jersey. Son quotidien consiste à esquiver les vacheries de ses frères et soeurs, l'alcoolisme de son père, les colères de sa mère et... dessiner.
Le récit, plein d'humour et d'autodérision, témoigne d'ue enfance qui pourrait certes être qualifiée de difficile, mais qui a aussi - et c'est là l'important - forgé un homme sincère et attentif, capable de trouver de la joie dans le plus simple quotidien.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !