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Il est toujours bon de faire un bilan de ses lectures et de les classer …...
Si je me souviens bien , mon premier roman africain a été, il y a plusieurs dizaines d'années L'ENFANT NOIR du Guinéen Camara Laye, dont on ne parle plus guère
Puis sont venus, ceux du Congolais Alain Mabanckou, dont je suis désormais les publications : VERRE CASSE, BLACK BAZAR, DEMAIN J'AURAI 20 ANS, PETIT PIMENT
Ceux du Congolais Emmanuel Dongala LES PETIS GARCONS NAISSENT AUSSI DES ETOILES et PHOTO DE GROUPE AU BORD D'UN FLEUVE
ALLAH N'EST PAS OBLIGE prix Goncourt des Lycéens en 2000, de l'Ivoirien d'Amadou Kourouma
CONTOURS DU JOUR QUI VIENT de la Camerounaise Leonora Miano autre prix Goncourt des Lycéens en 2006 ( un roman qui m'a particuièrement émue ….)
LE ROI DE KAHEL du Guinéen Tierno Monenembo , prix Renaudot 2008
NOTRE DAME DU NIL et UN SI BEAU DIPLOME de la Rwandaise Scholastique Mukasonga
Enfin LES PECHEURS du Nigérian Chigozé Obama
J'allais oublier UNE SAISON BLANCHE ET SECHE d'André Brink
Ce sont les titres qui m'ont le plus marquée, mais chaque roman africain est toujours source de voyage, d'aventure mais surtout d'ouverture et d'enrichissement .
Deux derniers romans que j'ai lus et qui m'ont particulièrement ravis :
Chinua Achebe : Tout s'effondre (Actes Sud - 2016). Un village traditionnel où tout baigne dans l'huile, les relations inter individuelles, les relations entre villages, les relations avec les esprits, l’équilibre économique, ls rites, les fêtes, le système éducatif, etc... Et arrivent les missionnaires... je n'en dis pas plus.
Chimamanda Ngozi Adichie : L'hibiscus pourpre (Folio, 2017). Jeune adolescente nigériane élevée dans un foyer de fondamentalistes catholiques très sévère ou tout est devoir, obéissance et enfermement, un coup d'Etat oblige le père à envoyer ses enfants chez une tante chez qui ils découvrent la joie de vivre, le rire, la musique. Au retour au foyer, les conflits ne peuvent qu'éclater...
Messages : 95
Le 30/05/2019 à 15h14
Si je me souviens bien , mon premier roman africain a été, il y a plusieurs dizaines d'années L'ENFANT NOIR du Guinéen Camara Laye, dont on ne parle plus guère
Puis sont venus, ceux du Congolais Alain Mabanckou, dont je suis désormais les publications : VERRE CASSE, BLACK BAZAR, DEMAIN J'AURAI 20 ANS, PETIT PIMENT
Ceux du Congolais Emmanuel Dongala LES PETIS GARCONS NAISSENT AUSSI DES ETOILES et PHOTO DE GROUPE AU BORD D'UN FLEUVE
ALLAH N'EST PAS OBLIGE prix Goncourt des Lycéens en 2000, de l'Ivoirien d'Amadou Kourouma
CONTOURS DU JOUR QUI VIENT de la Camerounaise Leonora Miano autre prix Goncourt des Lycéens en 2006 ( un roman qui m'a particuièrement émue ….)
LE ROI DE KAHEL du Guinéen Tierno Monenembo , prix Renaudot 2008
NOTRE DAME DU NIL et UN SI BEAU DIPLOME de la Rwandaise Scholastique Mukasonga
Enfin LES PECHEURS du Nigérian Chigozé Obama
J'allais oublier UNE SAISON BLANCHE ET SECHE d'André Brink
Ce sont les titres qui m'ont le plus marquée, mais chaque roman africain est toujours source de voyage, d'aventure mais surtout d'ouverture et d'enrichissement .
Messages : 7
Le 30/05/2019 à 16h59
Chinua Achebe : Tout s'effondre (Actes Sud - 2016). Un village traditionnel où tout baigne dans l'huile, les relations inter individuelles, les relations entre villages, les relations avec les esprits, l’équilibre économique, ls rites, les fêtes, le système éducatif, etc... Et arrivent les missionnaires... je n'en dis pas plus.
Chimamanda Ngozi Adichie : L'hibiscus pourpre (Folio, 2017). Jeune adolescente nigériane élevée dans un foyer de fondamentalistes catholiques très sévère ou tout est devoir, obéissance et enfermement, un coup d'Etat oblige le père à envoyer ses enfants chez une tante chez qui ils découvrent la joie de vivre, le rire, la musique. Au retour au foyer, les conflits ne peuvent qu'éclater...