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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • Cymone a dit :
    Merci Bruno d'apprécier mon texte. Veux tu écrire quelque chose sur cette image? J'aimerais tellement lire ta jolie prose. A bientôt j'espère. Cymone


    Coucou Cymone, copains zé copines. Désolé pour mon absence dans le groupe, indépendante de ma volonté je vous assure. J’ai l’impression que cela fait mille ans.
    Une vieille femme m’avait refilé une pomme rouge très appétissante (la pomme… pas la vieille), que j’ai croquée (…) Après plus aucun souvenir, il y avait une citrouille dans mon lit, un crapaud, une chaussure… bref j’ai une excuse en béton ! Je vais essayer un petit texte aujourd’hui, encore faut-il que je trouve la sortie de ce labyrinthe dans cette satanée forêt hantée… et aussi que je mette la main sur mes habits… (sacrée sorcière !)

    À tout à l’heure je suis en retard les lapins
    Bruno Potter
  • En réponse à l’image merveilleuse de ce torrent au pied de la montagne.

    « Les histoires d’eaux n’avaient jamais excité ma curiosité. Puis un jour, le besoin de me ressourcer, de romans Fleuves je fus assoiffé. Plonger dans les enquêtes, les romans policiers, je m’abreuvais du sang, façon Maigret. Empilés en montagne de papier meurtri, je me noyais petit à petit. Histoires sanglantes d’assassins, et rivières pourpres de bouquins, remplirent mon lit de ces récits. Sur le rivage, des lettres d’amour échouées, séchaient au vent, comme autant de larmes de vieux amants. »
  • jourgetoux a dit :
    Coucou Cymone, copains zé copines. Désolé pour mon absence dans le groupe, indépendante de ma volonté je vous assure. J’ai l’impression que cela fait mille ans.
    Une vieille femme m’avait refilé une pomme rouge très appétissante (la pomme… pas la vieille), que j’ai croquée (…) Après plus aucun souvenir, il y avait une citrouille dans mon lit, un crapaud, une chaussure… bref j’ai une excuse en béton ! Je vais essayer un petit texte aujourd’hui, encore faut-il que je trouve la sortie de ce labyrinthe dans cette satanée forêt hantée… et aussi que je mette la main sur mes habits… (sacrée sorcière !)

    À tout à l’heure je suis en retard les lapins
    Bruno Potter

    Harry, mon pote, tu te promenais donc tout nu dans la forêt avec pour tout vêtement ton seul choixpeau ?T'as pris froid, t'es tombé malade? Tu étais donc alité ? Ah je comprends cette si longue absence ! Bon maintenant que tu es remis, va falloir retourner au turbin! Sinon les contrôleurs de la CPAM vont te tomber sur le paletot ! T'en as un au moins? Tu as retrouvé tes vêtement? Avec ce froid et la neige, il est conseillé de se couvrir chaudement et pas qu'avec un chapeau; ça ne suffit pas ! Ah ces jeunes, n'ont rien sous la casquette !
  • jourgetoux a dit :
    En réponse à l’image merveilleuse de ce torrent au pied de la montagne.

    « Les histoires d’eaux n’avaient jamais excité ma curiosité. Puis un jour, le besoin de me ressourcer, de romans Fleuves je fus assoiffé. Plonger dans les enquêtes, les romans policiers, je m’abreuvais du sang, façon Maigret. Empilés en montagne de papier meurtri, je me noyais petit à petit. Histoires sanglantes d’assassins, et rivières pourpres de bouquins, remplirent mon lit de ces récits. Sur le rivage, des lettres d’amour échouées, séchaient au vent, comme autant de larmes de vieux amants. »

    Bien vu Harry ! Enfin tu émerges…de ton lit ! Ça sent le sang tout ça quand même ! Concernant les lettres, ce sont tes admiratrices de l’atelier d’écriture, Kryan, moi et les autres et tes milliers d’admiratrices. J’vais te dire, si ça peut te faire gagner du temps ! T’en lis une, tu les as toutes lues ! Pour les réponses, envoies donc un message groupé à l’atelier !
  • Cymone a dit :
    Harry, mon pote, tu te promenais donc tout nu dans la forêt avec pour tout vêtement ton seul choixpeau ?T'as pris froid, t'es tombé malade? Tu étais donc alité ? Ah je comprends cette si longue absence ! Bon maintenant que tu es remis, va falloir retourner au turbin! Sinon les contrôleurs de la CPAM vont te tomber sur le paletot ! T'en as un au moins? Tu as retrouvé tes vêtement? Avec ce froid et la neige, il est conseillé de se couvrir chaudement et pas qu'avec un chapeau; ça ne suffit pas ! Ah ces jeunes, n'ont rien sous la casquette !


    Merci Cymone pour ta compréhension et ton soutien. Je suis mort de rire (malgré les orties qui foisonnent dans cette forêt… ) en te lisant.

    J’espère que tu vas bien ainsi que tous nos camarades de jeux. À très vite. Bizzzzzz à tous
  • jourgetoux a dit :
    Merci Cymone pour ta compréhension et ton soutien. Je suis mort de rire (malgré les orties qui foisonnent dans cette forêt… ) en te lisant.

    J’espère que tu vas bien ainsi que tous nos camarades de jeux. À très vite. Bizzzzzz à tous

    Je vais bien mais je suis pressée! "J'ai poney!" à 9 heures et un RDV avec Copilot ! je suis encore en pyjama ! Pour info, Copilot (IA de Microsoft) m'a envoyé un message plein d'admiration sur mes talents d'écrivaine. C'est rempli d'amour; vers lui je cours !

  • ACCROCHE: que vous inspire cette image? Laissez aller votre imagination.
  • Cymone a dit :
    ACCROCHE: que vous inspire cette image? Laissez aller votre imagination.

    MON TEXTE:
    A l’approche des fêtes de fin d’année, Heidi, la petite fille des montagne est descendue dans la vallée avec son grand-père. Le village où habite sa cousine lui apparait soudain comme un conte de fées ; les rues et les maisons sont toutes illuminées. « Que c’est beau. » pense-t-elle en frottant ses yeux d’enfant éblouis. Ils avancent tous deux en se tenant par la main, la neige craquant sous leurs pas. Heidi sautille de joie en apercevant enfin la maison de son oncle et de sa tante ; c’est celle qui est à gauche de la belle maison au toit rose. Arrivés sur le perron de la jolie maison au toit gris, le grand-père la pose la valise d’Heidi à ses pieds et sonne. Heidi à les yeux pétillants de bonheur, ses vacances s’annoncent merveilleuses et presque irréelles. Le cœur battant à tout rompre, Heidi s’impatiente de découvrir l’immense sapin de Noël dressé dans le grand halle d’entrée. Comme chaque année, avec sa cousine adorée, elles sont chargées de le décorer. Ses vacances vont être fabuleuses.
  • Cymone a dit :
    Ma réponse à l'accroche de Kryan:
    Dans le crépuscule, un gardien avec son fusil observe en silence l’ombre noire de Jean Valjean plantée devant le soupirail de la cave. Sa casquette vissée sur la tête, et son ample capeline sur les épaules, le bagnard semble hésiter.
    Dans son dos, le gardien nostalgique s’émeut. Il pense à tous ces prisonniers condamnés injustement aux travaux-forcés et payés à coup de lance-pierres, pour avoir simplement volé un pain ou une pomme parce qu’ils avaient faim ! « Cette liberté est TOTALEMENT

    MERITEE » pense le gardien en pointant pourtant son fusil sur l’ombre noire. « Si je n’empêche pas cette évasion, c’est moi qu’on mettra aux fers ! » se dit-il en tirant.
    Mais la silhouette noire ne s’écroule pas !
    le gardien tire une fois de plus, puis deux, puis trois. Eberlué le gardien avance vers Jean Valjean et le saisit brutalement par l’épaule. L’ombre noire s’écroule ; ce n’était qu’un gros tas de pierres !


    Bravo !
  • Cymone a dit :
    Ma réponse à l'accroche de Kryan:
    Dans le crépuscule, un gardien avec son fusil observe en silence l’ombre noire de Jean Valjean plantée devant le soupirail de la cave. Sa casquette vissée sur la tête, et son ample capeline sur les épaules, le bagnard semble hésiter.
    Dans son dos, le gardien nostalgique s’émeut. Il pense à tous ces prisonniers condamnés injustement aux travaux-forcés et payés à coup de lance-pierres, pour avoir simplement volé un pain ou une pomme parce qu’ils avaient faim ! « Cette liberté est TOTALEMENT

    MERITEE » pense le gardien en pointant pourtant son fusil sur l’ombre noire. « Si je n’empêche pas cette évasion, c’est moi qu’on mettra aux fers ! » se dit-il en tirant.
    Mais la silhouette noire ne s’écroule pas !
    le gardien tire une fois de plus, puis deux, puis trois. Eberlué le gardien avance vers Jean Valjean et le saisit brutalement par l’épaule. L’ombre noire s’écroule ; ce n’était qu’un gros tas de pierres !


    Bravo !

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