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J’écrivais des silences,
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Bonjour à tous et toutes .Voilà bien longtemps que je ne vous écris plus , c'est pourquoi aujourd'hui , je reviens vers vous
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
C'est très très beau Dominique.
En plus tu nous manquais; reviens plus souvent. Bisous.
J’écrivais des silences,
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Bruno tes SILENCES sont tristes et à la fois merveilleux.
Bonjour à tous et toutes .Voilà bien longtemps que je ne vous écris plus , c'est pourquoi aujourd'hui , je reviens vers vous
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
J’écrivais des silences,
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Très inspirant ! C'est magnifique ! Je suis bien contente de voir que Rimbaud vous a tous bien inspirés !
Messages : 646
Le 28/01/2024 à 10h51
Messages : 663
Le 28/01/2024 à 11h03
Coucou Dominique. Comme c'est gentil; merci. Et quel plaisir de te retrouver. Tu nous écris quelque chose? Bisous.
Messages : 320
Le 28/01/2024 à 22h57
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Messages : 663
Le 29/01/2024 à 07h04
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
C'est très très beau Dominique.
En plus tu nous manquais; reviens plus souvent. Bisous.
Messages : 663
Le 29/01/2024 à 07h06
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Bruno tes SILENCES sont tristes et à la fois merveilleux.
Messages : 2100
Le 29/01/2024 à 08h15
Coucou Dominique je suis contente de te retrouver !
Messages : 2100
Le 29/01/2024 à 08h16
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
Merci beaucoup pour ce beau texte !
Messages : 2100
Le 29/01/2024 à 08h17
Au fond de mes nuits.
Je noyais ma souffrance,
pour tuer tous ces bruits.
J’écrivais des silences,
Cachant mon dégoût.
Mon esprit en errance,
Mais toujours debout.
J’écrivais des silences,
D’une vie qui trahie,
Blessures de l’enfance,
Jamais ensevelies.
J’écrivais des silences,
Que la vie a volé,
Tuant l’innocence,
D’une vie emportée.
J’écrivais des silences,
Trop durs à porter,
J’écrivais des silences,
Ne pouvant les hurler.
Très inspirant ! C'est magnifique ! Je suis bien contente de voir que Rimbaud vous a tous bien inspirés !
Messages : 2100
Le 29/01/2024 à 08h19
En plus tu nous manquais; reviens plus souvent. Bisous.
Oui c'est superbe aussi et tu nous manques ! C'est bien vrai !