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Texte très réaliste ! Heureusement que nous avons nos hommes pour nous aider à vivre plus sereinement et redresser nos tendances à la dramatisation (parfois). Excellente analyse des expressions des personnages.
Je suis en train de lire le roman trois vie par semaine de Michel Bussi et il y a un personnage qui découvre une "citation" de Arthur Rimbaud ...."j'écrivais des silences, des nuits. Je notais l'inexprimable."
Je vous propose donc une nouvelle accroche qui commencerait par ces quelques mots :
j'écrivais des silences...
À vous de faire une suite, si vous en avez envie bien évidemment !
J'écrivais des silences
Je me perdais dans ma solitude
Je me trompais dans mes habitudes
Je m'enfonçais dans la déprime
J'écrivais des silences
Je te cherchais en altitude
Je t'aimais en multitude
Je vivais sans aucune ligne
J'écrivais des silences
J'avais peur de la certitude
Je confondais des attitudes
Je voulais garder le rythme
J'écrivais des silences
J'en avais fini avec la gratitude
Je détestais la plénitude
Je voulais être un mime.
Très joliment écrit,
Ni larmes ni cris,
Mais nos cœurs sont pris,
Par tous ces non-dits.
Je suis en train de lire le roman trois vie par semaine de Michel Bussi et il y a un personnage qui découvre une "citation" de Arthur Rimbaud ...."j'écrivais des silences, des nuits. Je notais l'inexprimable."
Je vous propose donc une nouvelle accroche qui commencerait par ces quelques mots :
j'écrivais des silences...
À vous de faire une suite, si vous en avez envie bien évidemment !
J'écrivais des silences
Je me perdais dans ma solitude
Je me trompais dans mes habitudes
Je m'enfonçais dans la déprime
J'écrivais des silences
Je te cherchais en altitude
Je t'aimais en multitude
Je vivais sans aucune ligne
J'écrivais des silences
J'avais peur de la certitude
Je confondais des attitudes
Je voulais garder le rythme
J'écrivais des silences
J'en avais fini avec la gratitude
Je détestais la plénitude
Je voulais être un mime.[/quote
Ma suite:à ton poème:
J’écrivais des silences, des nuits,
Je notais l’inexprimable
Et regardant passer les nuages
Céleste troupeau d’un berger infatigable
Je demandais: “ Vers quels horizons
Vous précipitez-vous ?”
MON TEXTE EN REPONSE A L’ACCROCHE DE KRYAN :
J’écrivais des silences
Ou rendais une page blanche
Je pensais « je m’en balance !
Plus rien n’a d’importance ! »
Mes larmes tombaient en avalanche
Sur ma vie désormais sans amour
Et sur mon cœur bien trop lourd.
MON TEXTE EN REPONSE A L’ACCROCHE DE KRYAN :
J’écrivais des silences
Ou rendais une page blanche
Je pensais « je m’en balance !
Plus rien n’a d’importance ! »
Mes larmes tombaient en avalanche
Sur ma vie désormais sans amour
Et sur mon cœur bien trop lourd.
Bonjour à tous et toutes .Voilà bien longtemps que je ne vous écris plus , c'est pourquoi aujourd'hui , je reviens vers vous
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
Bonjour à tous et toutes .Voilà bien longtemps que je ne vous écris plus , c'est pourquoi aujourd'hui , je reviens vers vous
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
Messages : 2100
Le 25/01/2024 à 08h02
Tout à fait !
Messages : 320
Le 25/01/2024 à 08h58
Je vous propose donc une nouvelle accroche qui commencerait par ces quelques mots :
j'écrivais des silences...
À vous de faire une suite, si vous en avez envie bien évidemment !
J'écrivais des silences
Je me perdais dans ma solitude
Je me trompais dans mes habitudes
Je m'enfonçais dans la déprime
J'écrivais des silences
Je te cherchais en altitude
Je t'aimais en multitude
Je vivais sans aucune ligne
J'écrivais des silences
J'avais peur de la certitude
Je confondais des attitudes
Je voulais garder le rythme
J'écrivais des silences
J'en avais fini avec la gratitude
Je détestais la plénitude
Je voulais être un mime.
Très joliment écrit,
Ni larmes ni cris,
Mais nos cœurs sont pris,
Par tous ces non-dits.
Bon retour Kryan, je m’y colle !
Messages : 124
Le 25/01/2024 à 10h35
Je vous propose donc une nouvelle accroche qui commencerait par ces quelques mots :
j'écrivais des silences...
À vous de faire une suite, si vous en avez envie bien évidemment !
J'écrivais des silences
Je me perdais dans ma solitude
Je me trompais dans mes habitudes
Je m'enfonçais dans la déprime
J'écrivais des silences
Je te cherchais en altitude
Je t'aimais en multitude
Je vivais sans aucune ligne
J'écrivais des silences
J'avais peur de la certitude
Je confondais des attitudes
Je voulais garder le rythme
J'écrivais des silences
J'en avais fini avec la gratitude
Je détestais la plénitude
Je voulais être un mime.[/quote
Ma suite:à ton poème:
J’écrivais des silences, des nuits,
Je notais l’inexprimable
Et regardant passer les nuages
Céleste troupeau d’un berger infatigable
Je demandais: “ Vers quels horizons
Vous précipitez-vous ?”
Messages : 2100
Le 25/01/2024 à 17h59
Ni larmes ni cris,
Mais nos cœurs sont pris,
Par tous ces non-dits.
Bon retour Kryan, je m’y colle !
Merci ! Bonne colle ! Lol !
Messages : 2100
Le 25/01/2024 à 17h59
Ni larmes ni cris,
Mais nos cœurs sont pris,
Par tous ces non-dits.
Bon retour Kryan, je m’y colle !
Merci ! Bonne colle ! Lol !
Messages : 663
Le 27/01/2024 à 12h02
J’écrivais des silences
Ou rendais une page blanche
Je pensais « je m’en balance !
Plus rien n’a d’importance ! »
Mes larmes tombaient en avalanche
Sur ma vie désormais sans amour
Et sur mon cœur bien trop lourd.
Messages : 2100
Le 28/01/2024 à 07h57
Messages : 2100
Le 28/01/2024 à 07h59
J’écrivais des silences
Ou rendais une page blanche
Je pensais « je m’en balance !
Plus rien n’a d’importance ! »
Mes larmes tombaient en avalanche
Sur ma vie désormais sans amour
Et sur mon cœur bien trop lourd.
Merci aussi pour ce bien joli texte !.
Messages : 646
Le 28/01/2024 à 10h44
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions
Messages : 646
Le 28/01/2024 à 10h44
"j'écrivais des silences
j'étais dans une bulle de souvenirs
j'étais fermée au temps qui passe
je marchais dans un brouillard doux et enveloppant
je fermais les yeux et oubliais les douleurs , les mauvais coups du sort
je notais des mots d'amour , des mots de sang pour réapprendre le goût de la vie
j'écrivais des silences où ton visage était mon paysage
je dessinais ton nez , ta bouche, tes yeux et soudain un nuage te recouvrait
je fermais encore les yeux pour que tu ne m'échappes pas
je criais ton nom en silence et seul l'écho du vide me répondait
je croyais que le bonheur était éternel
j'écrivais des silences sur le cahier de mes désillusions