"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est le tome dont s'est inspiré Sokura Nishiki pour lancer City Hunter Rebirth. Il y a quelque chose d'amusant à comparer l'original et la reprise....
C'est pourtant le récit suivant qui se terminera au tome 18 qui a le plus retenu mon attention. Focus sur les deficiances du Mokkori de l'étalon de Shinjuku.
Alors que j'avais prévu d'arrêter la série sur ce tome 17, je vais poursuivre encore un tome pour aller au bout de ce récit...
Petite cuvée.
Et, meme si c'est humoristique et habituel, je n'ai pas trouvé méga cool la lubricité sur une jeune ado à peine plus âgée que ma fille...
Pas top top.
Les enquêtes ne m'ont pas vraiment intéressé et au regard du nombre d'allusions au kiki de Ryo, j'avais l'impression d'entendre un ado ricaner bêtement tout au long de ma lecture.
Mériterait un chouille plus d'exigences ?
Lecture distrayante, sans grande surprise, ni plaisir intense...
Je recherche les aventures évoquées dans les premiers tomes de City Hunter Rebirth, histoire de prolonger la mise en abyme et comparer l'original à la reprise.
Sauf revirement, je ne lirai pas toute la série des City Hunter, une fois trouvées.
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