"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dernier opus avec une première partie lente et longue, un final de saga poussif, Kelen a bien grandit au fil des tomes, avec ses forces et ses faiblesses et une maturité, ce dernier chapitre de la sage nous ramène aux origines.
Je referme les derniers chapitres avec un sentiment mitigé, un bon final pour les personnages, amitiés, émotions, humours, un univers riche. On a retrouver de nombreux personnages de la saga, un final laissant un petit goût amer et un peu sur notre faim.
Avant dernier opus de la saga.
Kelen a vraiment murit, un opus plus lent et avec moins d'actions. Complot et trahison, au coeur de ce volet, l'histoire est toujours haletante, on dévore ce livre en attendant le prochain. Shalla gagne en pouvoir et en influence. Une intrigue palpitante, bien construite et fluide, de l'humour, de la maturité, quelques twist plot.
L'un de mes opus favori de la saga, une bonne évolution des personnages. On découvre un nouvelle élan dans la saga. Action, aventure et humours. Des révélations sur l'ombre noir, des twist plot, un tomes 4 intense et rythmé. Kellen est toujours attachant.
" - Je vois, Kelen, que tu as encore trouvé des gens intéressants avec lesquels conspirer contre ta famille.
Je souris puis projetai la carte contre le mur, ce qui brisa la communication.
- Tu es déjà énervé ? me demanda Nephenia.
J'allai récupérer la carte en expliquant :
- Non, je pose juste le cadre de la négociation."
Nous continuons à suivre Kellen, on poursuit notre chemin dans cette univers riche. Rencontres inattendues, humours, magies, combats, les personnages sont une nouvelle fois bien construit et attachants. Du réalisme, une lecture fluide et addictive, quelques bonnes illustrations.
"Furia Pefax avait plein de sales habitudes. Je n'avais jamais réussi à savoir si c'était le cas de tous les Argosi, ou si c'était juste parce qu'elle avait un humour vraiment nul."
"Elle plongea son pinceau dans un petit flacon, puis traça une ligne incurvée sur la carte.
– Peindre, c’est le plus facile. Imprégner le support de ce qu’on sait, de ce qu’on soupçonne, le colorer avec l’évidence, le nuancer avec l’incertitude, c’est ça, la réelle difficulté."
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !