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Sarah Lark

Sarah Lark
Née en 1958 dans la Ruhr, Sarah Lark est tour à tour guide touristique et journaliste avant de se tourner vers l'écriture de romans. Elle vit près d'Alméria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. "Le Pays du nuage blanc", traduit dans 22 pays, a séduit plus de 2 millions ... Voir plus
Née en 1958 dans la Ruhr, Sarah Lark est tour à tour guide touristique et journaliste avant de se tourner vers l'écriture de romans. Elle vit près d'Alméria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. "Le Pays du nuage blanc", traduit dans 22 pays, a séduit plus de 2 millions de lecteurs dans le monde, et a été, notamment en Allemagne et en Espagne, un immense succès libraire.

Avis sur cet auteur (18)

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    Couverture du livre « Fleurs de feu » de Sarah Lark aux éditions Archipel

    Reve sur Fleurs de feu de Sarah Lark

    Malgré quelques longueurs, j ai encore bien apprécié ce premier tome de cette saga. A voir si la suite tient la route.

    Malgré quelques longueurs, j ai encore bien apprécié ce premier tome de cette saga. A voir si la suite tient la route.

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    Couverture du livre « Fleurs de feu » de Sarah Lark aux éditions Archipel

    Leschroniquesdelyane sur Fleurs de feu de Sarah Lark

    Avis : INTENSE

    Ah que j’aime les romans dans lesquels Histoire et les contrées d’ailleurs se mêlent pour nous faire revivre les exploits de ceux qui, contraints et forcés, ont un jour quitté leur pays. C’est le cas dans ce beau roman qui devrait être le premier d’une saga et j’y ai trouvé...
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    Avis : INTENSE

    Ah que j’aime les romans dans lesquels Histoire et les contrées d’ailleurs se mêlent pour nous faire revivre les exploits de ceux qui, contraints et forcés, ont un jour quitté leur pays. C’est le cas dans ce beau roman qui devrait être le premier d’une saga et j’y ai trouvé mon bonheur, au point de ne pas le lâcher pendant deux jours et de laisser de côté ce qui pouvait attendre. Il fait six cents bonnes pages et quand on a commencé…
    L’auteure va nous faire découvrir la Nouvelle Zélande, ce pays constitué de deux îles principales séparées par le détroit de Cook, et la vie des colons entre 1837 et 1844. Plusieurs familles d’une communauté de vieux-luthériens du Mecklembourg, vont quitter l’Allemagne pour tenter leur chance sur un territoire neuf, Eldorado de ce début du XXème siècle. Karl et Ida vont partir, l’une avec sa famille, l’autre seul grâce à son intelligence et sa débrouillardise qui vont lui permettre de faire le voyage gratuitement Si Karl trouve la liberté qu’il est venu chercher, en revanche Ida, mariée par son père rigoriste, puritain et pieux au fils d’une famille de l’ancienne communauté, sera longtemps femme à devoir tout souffrir. Heureusement que sur son chemin, Cat, fille de prostituée, elle-même en grande difficulté, va lui apporter le soutien et l’énergie pour supporter labeur incessant et époux brutal.
    C’est un roman voluptueux et fouillé qui fourmille de détails sur les raisons et les conditions qui ont accompagné les premiers émigrants, chassés de leur pays par la misère et croyant pouvoir reconstituer ailleurs ce qu’ils ont perdu. Mais c’est aussi l’histoire du peuple des Maoris qui dans un premier temps, ont bien accueilli les étrangers mais qui ont su se battre pour défendre leurs terres convoitées sans intelligence. C’est sauvage, somptueux, dynamique et l’auteure colle au plus près de la réalité historique. Quand elle s’en éloigne pour donner plus de feu au récit, elle s’en explique à la fin du roman. L’information qui nous est donnée de l’introduction des moutons à cette période nous est bien présentée et donne une vraie réalité aux fermes qui sont le théâtre de toute l’activité des couples que nous suivons.
    Et il y a les fleurs de ratas, exubérantes, parfumées, en feu passion comme l’est ce roman bien mis en valeur par la couverture qui nous donne une idée de la terre qui nous attend.
    Sarah Lark est connue pour ses sagas colorées, impétueuses, incitant aux voyages. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait en allant visionner le street view de la région chaque fois que les familles devaient suivre leur destin. Sur fond historique, le roman d’amour est aussi là mais il est adulte et responsable.
    L’écriture est ample, fluide, colorée et la lecture est d’une facilité propice à ne pas l’arrêter. Je vous conseille d’avoir le temps avant de vous y mettre sinon il risque d’y avoir quelques plats brûlés ; vous ne voudrez pas attendre pour tourner la page.
    Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions de l’Archipel pour #FLEURSDEFEU en Service de presse.

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    Couverture du livre « L'île de la mangrove rouge » de Sarah Lark aux éditions Archipel

    Aa2liiinee sur L'île de la mangrove rouge de Sarah Lark

    Je commence cette lecture commune avec de vagues souvenirs du tome 1. Seulement que j'avais passé un bon moment de lecture avec une héroïne déterminée et un contexte historique très intéressant. 

    Ce second tome de cette saga est essentiellement consacré à la fille de Nora, Deirdre. 
    Qui...
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    Je commence cette lecture commune avec de vagues souvenirs du tome 1. Seulement que j'avais passé un bon moment de lecture avec une héroïne déterminée et un contexte historique très intéressant. 

    Ce second tome de cette saga est essentiellement consacré à la fille de Nora, Deirdre. 
    Qui pour moi est tout le contraire de sa mère. Je l'ai trouvé capricieuse, égoïste et m'a agacé à plusieurs reprises durant ma lecture. Ce qui la rend beaucoup moins sympathique que sa mère. Je n'ai aussi pas adhéré à la romance qui l'entoure, d'autant plus que ça arrive très vite, ça manque de crédibilité et cause quelques clichés ... Un duo de personnages légèrement détestable.  

    La vraie héroïne de ce roman est Bonnie. Son destin, son évolution ont été les passages les plus intéressants du bouquin. Elle va se donner les moyens pour changer de vie. Elle est touchante et a été mon personnage préféré. 

    Sarah Lark a nouveau nous dresse les conditions des esclaves dans les Caraïbes du 18ieme siècle. C'est écrit avec réalisme et m'a appris encore des choses sur ce sujet. Elle dépeint les détails de la vie sur les plantations, que ça soit le travail des esclaves ou les comportements effrayants des contre-maîtres. Elle offre une vision multiple des esclaves. Ceux qui ont été affranchi, ceux qui se sont révoltés. 

    Un souffle romanesque nous embarque sur un bateau pirate, une partie que j'ai adoré découvrir, pour son lot de suspense et de rebondissements ! 

    L'île de la Mangrove Rouge malgré ses quelques faiblesses est un roman dépaysant avec de nombreuses péripéties pour un moment sympa de lecture. Même si je ne garderai pas un aussi bon souvenir que le tome 1.

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    Couverture du livre « L'île de la mangrove rouge » de Sarah Lark aux éditions Archipel

    dubonheurdelire sur L'île de la mangrove rouge de Sarah Lark

    Voici une lecture qui m’a accompagnée en ce début de vacances grâce au partenariat avec les éditions l’Archipel.


    Après avoir lu l’été dernier L’île aux mille sources je retrouve cet été Nora et les îles caribéennes. Lire sera donc toujours une belle façon de voyager.

    Cette fois, Nora...
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    Voici une lecture qui m’a accompagnée en ce début de vacances grâce au partenariat avec les éditions l’Archipel.


    Après avoir lu l’été dernier L’île aux mille sources je retrouve cet été Nora et les îles caribéennes. Lire sera donc toujours une belle façon de voyager.

    Cette fois, Nora laisse sa place à Deirdre en tant que personnage principal. Cette fille issu de l’union forcée de Nora avec l’ancien esclave Akwasi est désormais introduite dans le grand monde où elle succombe au charme du docteur Victor Dufresne. Tout semble idyllique mais les destins se croisent et parfois sous l’angle de la tragédie.

    Nora est une jeune femme peu ordinaire…Métisse, esclave par sa naissance, elle a grandi dans la plantation de son beau père qui la protège comme sa propre fille. Mais alors que son mariage et le départ pour une autre colonie devraient la mettre à l’abri de son véritable statut, elle succombe à une irrésistible passion pour un pirate sans savoir qu’il s’agit de son demi-frère !

    Comment cette histoire se terminera-t-elle ? dans un bain de sang ? Quand en plus de la tragédie familiale, gronde la révolte des esclaves, tout laisse croire à une fin tragique sous le soleil des tropiques.

    J’ai été ravie de repartir sous les tropiques et de retrouver Nora. Si l’histoire fonctionne grâce à son suspense et sa tension, j’ai parfois été exaspérée par le personnage d’enfant gâtée de Deirdre. La rencontre entre les deux amants est un peu trop prévisible car l’on voit les fils se tisser peu à peu et le dénouement est conforme à ce que j’imaginais et laisse présager une suite que je prendrai plaisir à lire.

    En résumé : une saga familiale sous les tropiques.