L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Un court roman, où, en donnant la parole à un moineau, Sami Tchak nous montre comment tous les êtres vivants sont inter-dépendant.
Comment chacun se nourrit d'un plus petit, ou d'un plus gros, lorsqu'il est mort.
Comment tout s'imbrique, et, dans un cercle permanent comment la vie passe d'être en être, d'asticot en oiseau, de l'œuf au serpent, de l'antilope au lion.
Comment l'homme n'est qu'un maillon, prédateur peut être, mais grignoté par les insectes dès lors qu'il est mis en terre.
Dans un style plein de circonvolutions qui collent au propos, j'ai entendu l'auteur dérouler sa fable, et me la raconter, beaucoup plus que je ne l'ai lue ...
Un style envoûtant pour une histoire qui aurait pu n'être qu'un paragraphe décrivant les chaînes alimentaires dans un livre de biologie mais qui devient une parabole de la vie - et de la mort - dans cette langue imagée remplie des animaux d'Afrique ... et de pigeons parisiens !
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique