Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
À travers de très belles planches, Bresson nous plonge dans le parcours héroïque de Simone Veil, dont la vie s'est caractérisée par la lutte, la résilience et l'engagement. Son parcours est un modèle d'inspiration, un témoignage du pouvoir de l'engagement personnel et de l'importance de défendre les droits fondamentaux de tous, sans distinction. Son exemple montre que même les épreuves les plus sombres peuvent mener à des actes de grande lumière.
Une bande dessinée bouleversante.
Paris, juillet 1942. En pleine nuit, Sarah est arrêtée avec ses parents par la police française. Avant d’être emmenée, elle cache son petit frère Michel dans un placard, lui promettant de revenir. Mais tout bascule…
En 2002, Julia Jarmond, une journaliste américaine vivant en France, enquête sur la Rafle du Vel d’Hiv. Son investigation la mène sur les traces de Sarah, révélant une histoire tragique qui va profondément la marquer.
Le roman de Tatiana de Rosnay, Elle s’appelait Sarah a connu une adaptation cinématographique en 2010.
Aujourd’hui, Pascal Bresson et Horne proposent une bande dessinée forte en émotion, alternant entre passé et présent.
Le destin de Sarah et la quête de Julia s’entremêlent dans un récit puissant.
Cette bande dessinée est une manière différente et complémentaire de (re)découvrir cette histoire, après le livre et le film.
Une lecture poignante et essentielle.
Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions Les Humanoïdes Associés & La Boîte à Bulles & HSN pour la lecture de #LeMystèreHenriPick en version numérique.
Crozon, 1992. Jean-Pierre Gouverc décide d'ouvrir un rayon de sa bibliothèque municipale aux manuscrits refusés.
Paris, 2014. Delphine est éditrice junior dans une maison d'édition. Elle tombe sous le charme du manuscrit d'un inconnu, et même de l'inconnu qui l'a écrit ! Quelques mois plus tard, le couple éditrice-auteur se rend dans la bibliothèque de M. Gouverc et en ressort avec une pépite littéraire, écrite par l'énigmatique M. Pick...
Je suis entrée assez rapidement dans cet album grâce à un scénario et des illustrations dynamiques et agréables. Je n'ai pas lu le roman éponyme de David Foenkinos et je suis contente d'avoir découvert cette histoire à travers le travail de Pascal Bresson (au scénario) et Ilaria Tebaldini (au dessin). Les personnages sont bien décrits et on discerne vite leurs contours [ce qui fait qu'on soupçonne facilement le dénouement]. J'ai aimé les intrusions dans le microcosme de l'édition et des médias et dans les affres de la création littéraire. Les différentes quêtes autour des identités de certains personnages ont attisé ma curiosité, mais pas au point de me captiver complètement.
Même si j'ai passé un moment agréable, ce n'est pas un coup de cœur... Il m'a manqué la fibre artistique dans les illustrations (un peu trop traditionnelles, chatoyantes et lisses à mon goût) et la touche de suspens dans le scénario... En plus, j'ai parfois eu du mal à lire les textes, mais peut-être est-ce dû à la version numérique que j'ai lue.
#LeMystèreHenriPick #NetGalleyFrance
Ce roman graphique consacré à Robert Badinter (1928-2024) se présente sous la forme d'un entretien de 3 heures, que celui-ci accorde à Noémie, une jeune étudiante en master qui rédige un mémoire sur Badinter.
Cet ouvrage retrace les principaux évènements de sa vie qui ont orienté sa vie professionnelle; sa lutte contre l'antisémitisme trouve ses racines dans son enfance, dans une famille juive ashkénaze, marquée par le sort dramatique réservé aux juifs pendant la deuxième guerre mondiale et la Shoah qui lui enlèvera son père. Sa farouche opposition à la peine de mort vient en partie de son échec dans l'affaire Bontems (1972), qui a été exécuté alors qu'il avait été reconnu non coupable de l'assassinat d'une infirmière en prison et qu'il a accompagné jusqu'à l'échafaud; il évitera la peine de mort à Patrick Henry, meurtrier d'un enfant de 7 ans, en 1977. Son combat, il le mena aussi, contre l'opinion publique, qui était alors en majorité favorable à la peine de mort.
Le roman graphique souligne l'admiration de Badinter pour Victor Hugo, qui mena le même combat à son époque mais trop tôt pour l'emporter. Victor Hugo fut son mentor, son exemple en ce qui concerne la force des convictions, l'articulation de la pensée.
L'idée d'attribuer une couleur par période de la vie de Badinter est une bonne idée et permet de s'y retrouver dans les allers et retours dans sa vie:
grise pour le présent, ocre pour les planches sur Victor Hugo, rouge pour les affaires Bontems et Henry, verte pour ses souvenirs d'enfance. En revanche, il est plus difficile de s'y retrouver dans les personnages car les visages se ressemblent tous.
Je regrette que, seules deux facettes, les plus connues de l'homme, aient été évoquées, la lutte contre l'antisémitisme et contre la peine de mort et que n'aient pas été ne serait-ce qu' effleurés sa lutte contre l'homophobie avec une évolution concrète des lois et son combat pour la réinsertion des détenus ou pour l'indemnisation des victimes des accidents de la route (Loi Badinter de 1985).
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