Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Ce mec va quelque part.
À bord de sa 207.
1h48.
Embarquant avec lui,
ses papiers, ses clopes.
Les kilomètres défilent.
Tout comme ses souvenirs.
La direction ?
Seul lui le sait.
« C’est des bons souvenirs ça. Ah ouais quand je repense à ces moments j’ai presque les larmes aux yeux. Parce que c’était bien et qu’on a toujours deux ou trois larmes qui se pointent quand on repense à des moments cool qui ne reviendront jamais, et puis parce que je peux pas m’empêcher de me dire que si on n’avait pas eu le gamin, eh ben on aurait pu avoir une vie bien chanmée. »
Un monologue intime, sans filtre. Les pensées de cet homme défilent à grande vitesse, soutenues par un ton familier, parfois cru, touchant là où ça fait mal.
Une grosse claque et un gros coup de cœur pour ce premier roman.
http://www.mesecritsdunjour.com/2024/09/le-gars-qui-allait-quelque-part-michel-bezbakh.html
Le gars qui allait quelque part par Michel Bezbakh, Éditions Buchet Chastel
Écrire un avis sur ce roman est compliqué pour moi.
J'ai vraiment beaucoup aimé l'histoire de ce type qui est dans sa voiture et qui a un lieu d'arrivée bien précis. Dire que j'ai eu des sentiments pour ce gars ? Je vais être sincère, je n'en ai eu aucun.
Alors comment ai-je pu apprécier cette histoire ? Parce que Michel Bezbakh a complètement réussi à nous faire entrer dans la tête de son protagoniste. Et ça c'est fort. Le personnage est vraiment bien décrit et parle vraiment comme on pourrait l'imaginer.
Et c'est là que le bât blesse. Malgré le beau récit de ce livre, les émotions qui peuvent ressortir, j'ai eu du mal à le terminer. Le vocabulaire et le langage employés m'ont vraiment beaucoup gêné. Que certains mots ou certaines expressions soient utilisés une ou deux fois, d'accord. Mais à longueur de page, non , vraiment c'était trop voire même rasant.
Dommage, ce premier roman de Michel Bezbakh aurait pu être un coup de cœur de la rentrée littéraire.
Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions Buchet Chastel pour l'acceptation de ma demande de lecture.
J’ai beaucoup aimé l’histoire de ce roman.
On suit un homme qui prend sa voiture pour un endroit inconnu du lecteur, mais dont la durée du trajet elle est donnée.
On remonte alors le fil de l’existence de ce personnage principal, avec ses doutes et ses erreurs.
Le tout est à la fois court et dense, avec une liberté de ton intéressante.
Un petit bémol : le langage dit « de rue » qui m’a un peu étonné, mais qui paradoxalement caractérise aussi le personnage principal
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