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Martin Michaud

Martin Michaud
Martin Michaud a connu un succès fulgurant au Québec avec ses quatre premiers polars Il ne faut pas parler dans l'ascenseur, La chorale du diable, Je me souviens et Violence à l'origine, qui lui ont valu de nombreux
prix littéraires. Au coeur de ceux-ci, on trouve Victor Lessard, enquêteur tourmen... Voir plus
Martin Michaud a connu un succès fulgurant au Québec avec ses quatre premiers polars Il ne faut pas parler dans l'ascenseur, La chorale du diable, Je me souviens et Violence à l'origine, qui lui ont valu de nombreux
prix littéraires. Au coeur de ceux-ci, on trouve Victor Lessard, enquêteur tourmenté, rebelle, mais hautement moral du service de police de la Ville de Montréal. Sorti en novembre 2014 au Québec, le quatrième volet des enquêtes de Lessard s'est rapidement hissé en tête des ventes. Pour son premier hors série, Sous la surface, un thriller unanimement salué par la critique et le public, il a remporté, en compétition avec de nombreux romanciers francophones de renom, le Prix Tenebris 2014. Reconnu par la critique comme le chef de file des écrivains de romans policiers québécois, il voit son travail comparé à celui des auteurs internationaux Jo Nesbo, Michael Connelly, Fred Vargas, Ian Rankin et Henning Mankell. Grâce à Kennes Éditions, son talent s'impose désormais dans toute la francophonie !

Avis sur cet auteur (26)

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    Couverture du livre « Ghetto X » de Martin Michaud aux éditions Kennes Editions

    Djelae sur Ghetto X de Martin Michaud

    J'ai retrouvé avec plaisir l'ex enquêteur Victor Lessard qui accompagné de l'inimitable Jacinthe se retrouve à enquêter sur un groupe d'extrême droite après l'assassinat d'un journaliste. C'est un polar musclé, sans temps mort, qui et c'est l'une des forces de cet auteur nous propose des...
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    J'ai retrouvé avec plaisir l'ex enquêteur Victor Lessard qui accompagné de l'inimitable Jacinthe se retrouve à enquêter sur un groupe d'extrême droite après l'assassinat d'un journaliste. C'est un polar musclé, sans temps mort, qui et c'est l'une des forces de cet auteur nous propose des personnages extrêmement attachants. J'espère que l'auteur nous proposera d'autres enquêtes de Victor Lessard.

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    Couverture du livre « Il ne faut pas parler dans l'ascenseur » de Martin Michaud aux éditions Kennes Editions

    Agnès R. sur Il ne faut pas parler dans l'ascenseur de Martin Michaud

    Je viens de terminer ma lecture "Il ne faut pas parler dans l'ascenseur" de Martin Michaud Ce n'était pas ma première rencontre avec cet auteur, mais une chose est sûre, ce n'est pas non plus la dernière ! Beaucoup de plaisir

    Je viens de terminer ma lecture "Il ne faut pas parler dans l'ascenseur" de Martin Michaud Ce n'était pas ma première rencontre avec cet auteur, mais une chose est sûre, ce n'est pas non plus la dernière ! Beaucoup de plaisir

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    Couverture du livre « S.A.S.H.A. » de Martin Michaud aux éditions Kennes Editions

    Lison CARPENTIER sur S.A.S.H.A. de Martin Michaud

    Petit roman, beaucoup d’effet… Quelques heures de lecture à peine et ce livre m’a donné l’impression d’être un O.V.N.I dans le monde du roman noir. Lu en numérique, je n’ai pas prêté attention au départ au faible nombre de pages et j’ai donc été très surprise par la taille de ce livre, sur...
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    Petit roman, beaucoup d’effet… Quelques heures de lecture à peine et ce livre m’a donné l’impression d’être un O.V.N.I dans le monde du roman noir. Lu en numérique, je n’ai pas prêté attention au départ au faible nombre de pages et j’ai donc été très surprise par la taille de ce livre, sur lequel je m’attendais à passer trois ou quatre jours… Un récit court et pourtant intense en émotion , en action et en réflexion, à mi-chemin entre le thriller et la science-fiction.

    Aéroport de Montréal. Focus sur un homme, Elias Wallach, qui erre en compagnie d’un petit garçon nommé Sasha, ensemble ils attendent la mère de celui-ci, Luana, dont l’avion devrait bientôt arriver en provenance de Paris. Nous apprenons par bribes, à la manière d’un puzzle qui va se reconstituer sous nos yeux, les liens qui unissent l’homme et l’enfant et la raison pour laquelle ils sont en fuite.

    Je reste toutefois perplexe quant à mes impressions face à ce roman. D’emblée, je suis séduite et conquise par l’écriture de l’auteur, le récit est empreint de finesse et de subtilité, l’essentiel est dit sans fioriture et de façon convaincante car j’ai ressenti beaucoup d’empathie pour ces deux personnages. Le récit, sous forme de huis-clos (nous ne quitterons pas l’aéroport) est mystérieux, bien ficelé, intrigant… Trop intrigant à dire vrai car je me suis posé beaucoup de questions, pour lesquelles j’ai eu des réponses mais qui à mon goût auraient pu être développées sur 800 pages!!! On peut parfaitement se contenter de ce court roman et de ce que l’auteur nous offre car le résultat est très réussi et maîtrisé, mais comprenez ma frustration : on évoque un institut où des enfants doués de pouvoirs paranormaux vivent reclus et dans lequel Sasha a vécu, un lourd passé pour Elias qui souffre de problèmes psychologiques et pour lesquels nous n’aurons pas d’explication… J’ai donc vu les pages de ce livre défiler à une vitesse folle et, alors que s’élevait un potentiel énorme, j’avais l’impression de brûler les étapes, de sauter au-dessus de pistes très intéressantes, et j’ai le regret de ne pas savoir ce qu’il s’est passé avant l’aéroport, et également ce qui se pourrait se passer par la suite.

    Ce livre si particulier vaut la peine d’être lu, (il est d’autant plus court que ce serait dommage de ne pas le découvrir) ! Je remercie Net Galley et les Editions Kennes pour la découverte de cet auteur que je ne connaissais pas mais dont la plume m’intrigue beaucoup!
    Retrouvez mes chroniques sur https://loeilnoir.wordpress.com/

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    Couverture du livre « Il ne faut pas parler dans l'ascenseur » de Martin Michaud aux éditions Kennes Editions

    jml38 sur Il ne faut pas parler dans l'ascenseur de Martin Michaud

    Un polar écrit par un cousin canadien qui respecte les canons du genre. Un tueur sévit dans la région de Québec et il semble qu'une série soit en cours, à laquelle Victor Lessard est chargé de mettre un terme, pressé par le timing imposé par un psychopathe dont le mobile fait se perdre en...
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    Un polar écrit par un cousin canadien qui respecte les canons du genre. Un tueur sévit dans la région de Québec et il semble qu'une série soit en cours, à laquelle Victor Lessard est chargé de mettre un terme, pressé par le timing imposé par un psychopathe dont le mobile fait se perdre en conjectures son équipe.

    Victor Lessard est un policier aux antécédents familiaux chargés, avec des problèmes de couple, de relations avec son fils. Après une plongée dans l'alcool, il est en phase de sevrage et essaye de retrouver la garde des ses enfants, dans la bonne lignée des flics de romans.

    L'écriture est relativement atypique, avec une narration omnisciente et une à la première personne, la voix n'étant alors pas celle du policier mais celle d'un autre personnage, Simone Fortin, qui, à la suite d'un accident de la circulation, vit une aventure parallèle que je qualifierais d'onirique pour ne pas en dévoiler plus.

    Martin Michaud nous gratifie de mots et expressions typiques, sans en surcharger pour autant son texte ni déstabiliser le lecteur français, donnant au récit une sympathique couleur régionale.

    Au final un polar agréable et efficace avec une intrigue assez classique de tueur vengeur, un flic perturbé qui n'attire pas l'empathie sans être totalement antipathique, l'ensemble baignant dans une atmosphère étrange provoquée par l'histoire peu banale que vit Simone Fortin.

    Ce premier opus d'une série mettant en scène Victor Lessard m'a donné envie de découvrir une suite qui, d'après l'auteur, s'enrichit fortement en québécismes, ce qui ne sera certainement pas pour me déplaire.

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