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Lelio Bonaccorso

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Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Une histoire populaire du football » de Lelio Bonaccorso et Jean-Christophe Deveney et Mickael Correia aux éditions Delcourt

    Domi Mots sur Une histoire populaire du football de Lelio Bonaccorso - Jean-Christophe Deveney - Mickael Correia

    Pour ceux qui adorent ou détestent le foot et … pour tous les autres.

    Quel sport comporte un nombre aussi important de supporters et de détracteurs, tous aussi passionnés les uns que les autres ?

    Les premiers parlent du plaisir de jouer, de « beau geste », d’émotion, d’émancipation des...
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    Pour ceux qui adorent ou détestent le foot et … pour tous les autres.

    Quel sport comporte un nombre aussi important de supporters et de détracteurs, tous aussi passionnés les uns que les autres ?

    Les premiers parlent du plaisir de jouer, de « beau geste », d’émotion, d’émancipation des minorités, tandis que les seconds évoquent toutes les dérives du sport.
    Et notamment à propos du Mondial du Qatar : « Violation des droits humains, travailleurs migrants morts sur les chantiers, absurdité climatique… (…) Mais ce n’est pas que ça. Il y aussi le foot-business qui est à pleurer. (…) Les multinationales qui exploitent les codes du foot de la rue pour vendre leurs chaussures. »

    Pourquoi, une relation aussi émotionnelle ? Il faut lire le passionnant exposé des auteurs pour bien le comprendre dans un contexte géopolitique et sociologique, depuis les origines du sport.

    On s’aperçoit que le foot a d'abord été un moyen de contrôle des élites : « Je préfère que mes élèves jouent vigoureusement au football plutôt qu’ils emploient leur temps libre à se soûler ou à se battre dans les tavernes. Le sport est un antidote à l’immoralité et une cure contre l’indiscipline. »

    Puis, le sport s’en affranchit et au contraire fédère les populations. Il devient alors un instrument de rassemblement et de liberté :
    - Affirmation des minorités au Brésil, en Afrique, en Égypte durant le Printemps Arabe.
    - Émancipation avec les « munitionnettes », les premières footballeuses en 1915.
    - Ferveur nationale avec Maradona.
    - Résistance durant l’Allemagne nazie : Lors de la rencontre Allemagne-Autriche en 1938, il est ordonné à l’équipe autrichienne de laisser gagner l’Allemagne nazie. Son attaquant viennois, Matthias Sindelar, « L’homme de papier » ou « le Mozart du football » pour son physique et sa facilité à se glisser dans les défenses adverses, désobéit, fait gagner son camp et … signe son arrêt de mort.

    Une histoire plutôt positive même si j'ai regretté que les auteurs oublient l’hooliganisme, l’outrance des dérives financières, « le greenwashing » de certains états sous prétexte de coupe du monde…
    Cela n’empêche, c’est une excellente investigation très documentée et pourtant agréable à lire et facile à suivre.

    J’aime beaucoup cette collection « La Découverte-Delcourt qui propose, en BD, une analyse sociologique des sujets les plus divers. Exemples : « Cerveaux augmentés (humanité diminuée ? ) - « Les crieurs du crime. La belle époque du fait divers
    Merci aux éditions La Découverte-Delcourt ainsi qu’à Babélio

    https://commelaplume.blogspot.com/

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    Couverture du livre « Pour l'amour de Monna Lisa : Le plus grand vol du XXe siècle » de Lelio Bonaccorso et Marco Rizzo aux éditions Steinkis

    Claire @fillefan2bd sur Pour l'amour de Monna Lisa : Le plus grand vol du XXe siècle de Lelio Bonaccorso - Marco Rizzo

    Comment peut-on seulement imaginer que Monna Lisa n’ait pas été en ce début de 20e siècle l'œuvre la plus admirée du Musée du Louvre comme elle l’est aujourd’hui et ait pu disparaître à l’insu de tous ? Monna Lisa avec deux n, c’est bien cela, ce n’est pas une erreur, puisque c’est ainsi que La...
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    Comment peut-on seulement imaginer que Monna Lisa n’ait pas été en ce début de 20e siècle l'œuvre la plus admirée du Musée du Louvre comme elle l’est aujourd’hui et ait pu disparaître à l’insu de tous ? Monna Lisa avec deux n, c’est bien cela, ce n’est pas une erreur, puisque c’est ainsi que La Joconde se nomme en italien.

    Août 1911, Vincenzo Peruggia, un employé travaillant pour une entreprise chargée de fabriquer des vitrines pour les œuvres d'art, s’introduit dans une des galeries du musée. Il décroche le portrait signé Léonard de Vinci, l’enveloppe dans sa veste et ressort du bâtiment comme si de rien n’était.
    Pourquoi ce geste ? Parce que se sentant dénigré par les Français qui ne le voient que comme un immigré, il décide que les œuvres italiennes exposées au Louvre devraient elles aussi retourner dans leur pays d’origine. Comme le lui font parfaitement bien remarquer les Français qui le côtoient.

    Rentré chez lui dans sa modeste chambre, il cache le tableau sous son lit et réalise qu’il a commis un vol dont la police va rapidement accuser un certain Pablo Picasso et un certain Guillaume Apollinaire. Les journaux s’emparent de cette affaire, intimant le directeur du Musée à démissionner.
    Deux ans plus tard, le tableau n’a toujours pas été retrouvé et Vincenzo propose innocemment à une galerie florentine de lui vendre le chef-d'œuvre afin qu’il soit exposé au Musée des Offices.

    Rocambolesque, voici le qualificatif qui vient aussitôt à l’esprit quand on découvre cet album “Pour l’amour de Monna Lisa, Le plus grand vol du siècle” signé Marco Rizzo et Leilo Bonaccorso. Avec son allure à la Charlie Chaplin, Vincenzo Peruggia est à la fois comique et pathétique puisque bien évidemment dépassé par les événements qu’il a provoqués.

    Cette histoire est véridique et aura pour conséquences de vives tensions entre la France et son voisin transalpin.
    Avec ses tons sépia, l’ambiance Belle Époque du récit est parfaitement bien rendue et il nous paraît tout simplement incroyable que la Joconde, même si elle n’était pas aussi célèbre qu’aujourd’hui, ait pu rester cachée sous un lit pendant plus de deux ans.

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    Couverture du livre « Pour l'amour de Monna Lisa : Le plus grand vol du XXe siècle » de Lelio Bonaccorso et Marco Rizzo aux éditions Steinkis

    BD APRÈS BD sur Pour l'amour de Monna Lisa : Le plus grand vol du XXe siècle de Lelio Bonaccorso - Marco Rizzo

    En août 1911, la Joconde de Léonard de Vinci, alors loin d'être le tableau le plus célèbre du monde, est dérobée au Louvre. Dès les premières pages, nous apprenons que le voleur n'est autre que Vincenzo Perugia, un ouvrier italien travaillant au musée. Convaincu que le tableau doit retourner en...
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    En août 1911, la Joconde de Léonard de Vinci, alors loin d'être le tableau le plus célèbre du monde, est dérobée au Louvre. Dès les premières pages, nous apprenons que le voleur n'est autre que Vincenzo Perugia, un ouvrier italien travaillant au musée. Convaincu que le tableau doit retourner en Italie, Vincenzo cachera la Joconde pendant plus de deux ans sous son lit...

    Cet album nous plonge dans la France du début du XXe siècle, explorant des thèmes tels que l'amour, l'amitié, le plaisir du travail, la passion, la folie, l'obsession, la vie des migrants en France, le manque de respect dans le monde du travail, la discrimination et le vol.

    « L'amour triomphe de tout. » Léonard de Vinci

    Fondé sur des faits réels, ce récit est à la fois passionnant et captivant. Avec son personnage principal vraiment attachant, la lecture de cette histoire un peu folle a été un véritable plaisir. Des dessins délicats agrémentés de teintes sépia se déploient sur des pages au fond beige clair.

    En bref, cette charmante bande dessinée nous a fait passer un moment particulièrement agréable. Elle séduira ceux et celles qui souhaitent explorer ou revisiter l'aventure rocambolesque de la Joconde, qui a ensuite connu diverses autres tribulations au fil du temps...

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    Couverture du livre « Le sarde » de Loulou Dedola et Lelio Bonaccorso aux éditions Glenat

    Lionel Arnould sur Le sarde de Loulou Dedola - Lelio Bonaccorso

    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Bon, ça commence à bien faire maintenant ! C’est la deuxième fois de suite que je lis une BD dont le scénario me paraît vraiment sympa mais où la fin semble (je dis bien « semble ») bâclée et me laisse donc sur ma faim.

    Parce que...
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    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Bon, ça commence à bien faire maintenant ! C’est la deuxième fois de suite que je lis une BD dont le scénario me paraît vraiment sympa mais où la fin semble (je dis bien « semble ») bâclée et me laisse donc sur ma faim.

    Parce que dans Le Sarde, tout est là pour faire une BD de qualité : un personnage charismatique et tourmenté mais pas du tout caricatural, une ambiance et des décors réalistes qui permettent une réelle identification (ça se passe principalement en France, du côté de Lyon), des flashbacks qui nous font comprendre petit à petit quels sont les enjeux, etc, etc. Bref, C’est du solide côté scénario.

    Pour le dessin, c’est un peu pareil. Bon, je n’accroche pas au style dégingandé des personnages ni vraiment à leurs visages mais je suis bien obligé de reconnaître le talent graphique de Bonaccorso. La mise en page est particulièrement soignée. Très dynamique, un peu « comics » même, elle est également très télévisuelle par ses cadrages et l’on imagine parfaitement une déclinaison filmée de ce polar calabro-lyonnais.

    Mais le problème, c’est la fin ! Evidemment, je ne vais rien divulgâcher ici (si ce n’est que la fin n’est quand même pas terrible) mais tout de même… On a envie de dire : « Tout ça pour ça ?!? »… Un peu comme pour La Montagne invisible T2 (que je chroniquai naguère ici… il y a quelques jours), une scénario solide pour une fin en eau de boudin… Je suis déçu… Franchement déçu…

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