Objet esthétique, thématique pointue, le beau livre retient toujours l'attention et notamment lors de période de fêtes, propice à un cadeau de qualité.
Objet esthétique, thématique pointue, le beau livre retient toujours l'attention et notamment lors de périodes de fêtes, propice à un cadeau de qualité. Aussi, en cette fin d'année, nous avons demandé à Karine Henry, libraire...
Objet esthétique, thématique pointue, le beau livre retient toujours l'attention et notamment lors de période de fêtes, propice à un cadeau de qualité.
A lire
Dans cet essai, en revenant souvent sur ses engagements militantismes, dès la fin des années 1960, Laure Adler s'interroge sur le féminisme d'aujourd'hui.
Elle s'est engagée très jeune dans les mouvements pour la libération des femmes et reste une figure majeure du féminisme en France. Depuis toujours elle analyse, se documente et lit des écrits de femmes du monde entier. Elle convoque, d'ailleurs, dans son récit de nombreuses figures féministes d'Olympe de Gouge à Vanessa Springora. Elle parle d'avant et d'après le mouvement #Metoo.
Cet essai n'apporte pas de grandes idées novatrices, mais Laure Adler, rappelle que la vigilance et le combat contre toute forme de sexisme sont toujours à l'ordre du jour. Elle prône un féminisme de bon sens, loin des extrémistes. Laure Adler nous adresse un message de tolérance tout en nous incitant à ne surtout pas baisser les bras.
Etant de la même génération que Laure Adler, j'admire son engagement de toujours et j'apprécie son propos qui a une forte résonance en moi.
https://ffloladilettante.wordpress.com/2024/12/05/la-voix-des-femmes-de-laure-adler/
Dans cet essai de vagabondage, Laure Adler nous parle de sa façon d’être féministe, des jeunes filles d’aujourd’hui, des femmes de notre société et de leurs difficultés à se faire entendre, encore et toujours.
Il y a eu des progrès, des mouvements, des écrits, certes mais la place de la femme dans notre société est toujours en danger et nécessite la plus grande vigilance de tous. Et encore plus depuis l’existence des réseaux sociaux.
Laure Adler aborde ici différents sujets de société, donne sa voix aux femmes, à toutes les femmes, sans aucun tabou, sans barrière et sans compromis. Elle essaie de nous donner sa définition de la Femme, de la sororité, nous parle de son vécu, de la force qu’il faut aux femmes pour se maintenir à une place digne. Elle évoque les féminicides, les associations qui viennent en aide aux femmes en danger, les mutilations faites aux filles dans certaines cultures, …
C’est un récit engagé et passionnant, à mettre entre toutes les mains, à offrir, pour rester les yeux ouverts, pour garder notre vigilance et pour peut-être, espérons-le, arriver un jour à une pleine harmonie dans notre société.
Merci madame pour l’élan que vous insufflez avec vos mots.
Laure Adler porte depuis longtemps la voix des femmes. Dans ce court essai, qui mêle autobiographie et réflexions référencées, elle revient sur ce que signifie être une femme dans notre monde contemporain. Définition du féminisme, dans sa pluralité ( et le féminisme de Laure Adler est un militantisme actif mais fondé sur des bases qui excluent les extrémismes), et conséquences déjà visibles dans l’évolution dans mentalités. En particulier dans le domaine de la violence faite aux femmes, puisque le courage de quelques pionnières, qui ont dit haut et fort les souffrances endurées, de celles qui étaient jusqu’alors plutôt cachées sous les tapis, a permis à d’autres victimes de se manifester sans honte.
A la fois politique et historique, l’essai convoque de belles figures du féminisme : Olympe de Gouges , George Sand, Flora Tristan, des femmes qui ont parfois payer de leur vie leurs convictions.
Un beau message d’espoir pour un monde que l’on souhaite apaisé, et tolérant, dans cet essai facile d’accès par sa clarté et sa simplicité.
Merci aux éditions Grasset pour l’envoi de ce service de presse numérique via NetGalley France. Cette chronique n’engage que moi.
180 pages Grasset 9 octobre 2024
#Lavoixdesfemmes #NetGalleyFrance
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