Dixième tome de la série Rebus de Ian Rankin, inspecteur de police à Édimbourg. Un peu comme Wallander d'Henning Mankell, John Rebus est un personnage pittoresque, à l'âme un peu torturée, qui boit un peu plus que de raison mais garde les idées claires. Il ne respecte pas toujours les recommandations de ses supérieurs et n'en est que plus sympathique.
J'aime me promener dans Édimbourg et la région avec lui, la campagne où il est né, le voir avec son entourage, famille, amis, collègues…
Je passe toujours un bon moment en sa compagnie et je recommande de lire ses aventures dans l'ordre chronologique pour mieux profiter du personnage.
Un polar qui met du temps à s'installer.
Deux enquêtes parallèles ; un cold case enfin pas si cold pour Rebus et le meurtre d'un marchand d'art sur lequel va devoir se pencher sa collègue Siobhan car Rebus est puni.
Une histoire sombre, complexe où l'on ne peut faire confiance à personne.
Alors oui il y a quelques longueurs mais les deux personnages sont attachants et les dialogues nombreux et savoureux.
On fait le tour des bars d'Edimbourg et les coups pleuvent.
Une lecture agrèable.
Je me suis lancée dans la (re)lecture de toute la série des Rebus et j'en suis déjà au neuvième. Cette histoire est intéressante, par son déroulement mais surtout pas les à-côtés : souvenirs, rencontres… La drogue et la prostitution y sont omniprésentes ainsi que la traque d'anciens nazis.
Et Rebus m'est toujours aussi sympathique et j'apprécie son bon sens.
Je me suis lancée dans la (re)lecture de toute la série des Rebus et j'en suis déjà au huitième, ce qui me ravit. J'espère arriver au bout. Les histoires sont inégales mais j'ai beaucoup aimé celle-ci.
Dans cet opus on trouve beaucoup d'informations sur l'Ecosse, les plateformes pétrolières, le fonctionnement de la police…
Rebus m'est toujours aussi sympathique.
Minuit à l'ombre
Un cimetière dans le coeur
Rien que le noir
Un samedi pas comme les autres
Une occasion à ne pas rater
Le Passager
Un problème à trois pintes
Dis-moi qui tuer
Braver l'orage
A contribution
Réparation
Pas de clause de santé mentale
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