"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Vercingétorix, né vers 80 av J.C. et mort à Rome en 46 av. J.C., est un chef et roi arverne qui fédéra une partie des peuples gaulois dans le cadre de la plus importante révolte contre les forces romaines au cours de la dernière phase de la guerre des Gaules de Jules César. Fils de Celtillos, noble qui fut brûlé vif pour avoir voulu se proclamer roi, Vercingétorix arrive au pouvoir après sa désignation officielle comme chef des Arvernes en 52 av. J.C.. Il établit immédiatement une alliance avec d’autres tribus gauloises, prend le commandement des troupes et remporte la bataille de Gergovie dans laquelle de nombreux Romains et alliés gaulois, helvètes et teutons sont tués. Cependant, César parvient à exploiter les divisions internes des Gaulois, à regrouper ses forces et à s’offrir la participation d’un important détachement de cavalerie germaine. Enfermé dans la place-forte d’Alésia, Vercingétorix doit subir un long siège avant de voir arriver une armée de secours. Malgré cet important renfort, les Gaulois finissent par être défaits. Espérant sauver autant de ses hommes que possible, il se livre de lui-même aux Romains. Il est retenu prisonnier pendant six ans dans un cul de basse fosse. Puis, il est exhibé dans les rues de Rome au sein d’un défilé triomphal de César, puis immédiatement exécuté par étranglement.
« Vercingétorix » se présente comme un ouvrage historique légèrement romancé vu le peu de documents disponibles. Tout ce que l’on sait de ce personnage nous est parvenu par les écrits de César en personne, auteur qui savait fort bien se mettre en valeur. « Avec lui (Vercingétorix), commence véritablement l’histoire de France », lit-on en sous-titre. Le lecteur a même l’impression que cette Histoire n’est qu’une longue et sempiternelle suite de héros malheureux ne parvenant pas à délivrer leur pays des griffes des envahisseurs et finissant leur vie en martyr (comme Jeanne d’Arc et quelques autres). Dissensions, gabegie, trahisons, collaborations, traitrises, fanfaronnades et erreurs stratégiques majeures marquent cette histoire comme nombre des suivantes. Vercingétorix fut battu sottement alors qu’il disposait de forces armées supérieures en nombre, était sur son terrain, avait pratiqué avec succès la guérilla et la politique de la terre brûlée. Des quatre coins de la Gaule, la colère grondait, les tribus étaient en ébullition, César à bout de souffle et pourtant, il perdit. Sa cavalerie se débanda devant les Teutons dont César s’était offert les services à prix d’or. Et quelle idée saugrenue d’aller se laisser enfermer dans Alésia alors que l’on est maître du terrain et que l’on sait que les Romains sont les champions incontestés de la construction d’ouvrages de siège ! Très bien écrit, très agréable à lire, cet ouvrage n’apprend que peu de chose sur cette dramatique première page de notre Histoire.
C’est un livre qui change complètement de ce que j’ai l’habitude de lire. J’ai l’ai acheté pour l’offrir à une de mes collègues qui adore les chats et qui en possède une vingtaine. Mais avant, j’avais envie de le découvrir moi-même. Et c’est chose faite !
De son adoption en passant par ses bêtises, la rencontre de ses amis à plume, à poil et même à feuilles, Mistouflet nous conte sa plus grande aventure, celle de sa vie. Il nous raconte ses souvenirs de sa vie avec son maître, leur relation et la façon dont ils se sont apprivoisés l’un l’autre. Il y a aussi une partie purement hypothétique qui complètement de l’imagination de l’auteur. Je ne pense pas qu’il soit le seul à imaginer son chat vivre des aventures absolument improbable pendant son absence et voir ce que lui a en tête est plutôt drôle. Nous avons droit aux impressions de Mistouflet sur la vie, à ses sentiments, ses joies et ses peines, c’est très intéressant de voir le monde à travers les yeux d’un chat.
L’auteur donne la parole à son chat qui nous raconte sa vie quotidienne. C’est un petit livre simple agréable à lire sans non plus être exceptionnel. C’est bien écrit, avec de beaux mots, de jolies tournures de phrases et de belles citations à retenir. Les dessins de l’auteur lui-même qui ponctuent le récit sont jolis et aliment encore plus notre imagination.Ce livre sans prise de tête promet un beau moment d’évasion. J’espère qu’il plaira à ma collègue, autant que je l’ai apprécié moi.
De l'histoire vivante. Passionnant même pour un néophyte.
L’auteur, Georges Bordonove , donne la parole à son vrai chat afin que celui-ci nous conte ses mémoires.
Ce n’est pas extraordinaire, mais c’est plaisant à lire, bien écrit, et les dessins de l’auteur, qui ponctuent les chapitres, sont assez jolis.
Outre ses souvenirs réels et sa vie chez son maître, quelques chapitres sont purement imaginaires et relèvent du « conte », avec l’arbre-roi.
Il faut vraiment aimer les chats pour apprécier ce livre qui m’a fait passer un bon moment.
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