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FRIDAY Fitzhugh est une jeune universitaire de retour à Kings Hill, sa ville natale, à l’occasion des vacances de Noël. Dès son arrivée, elle retrouve Lancelot Jones, son ami d’enfance avec lequel elle partageait une passion pour la résolution des énigmes locales. Mais très vite, ils se retrouvent plongés dans une nouvelle enquête, bien plus sombre et inquiétante que celles d’autrefois.
Ce comics parvient à tisser un bel équilibre entre mystère, légende, angoisse et surnaturel, tout en laissant une place à la romance et à l’amitié. Le dessin soigné, instaurer une atmosphère mêlant nostalgie et inquiétude. Nous avons adoré les couleurs séduisantes, les ombres de la nuit, la neige qui tombe, la présence inquiétante des créatures maléfiques, la forêt toute proche, les personnages aux personnalités intéressantes et attachantes.
Entre aventure, énigmes, rebondissements et révélations, cette excellente série young adult offre une histoire prenante et tenant en haleine, pleine de mystères et terminée en trois tomes.
Un second opus dans la même veine que le précédent volume, sombre, des découpages efficaces, des changements de styles. Un graphisme genre comics strip, certaines planches rappel les Archie comics. Une série de comics que je recommande.
Dans ce premier volume nous retrouvons les trois premiers tomes en compagnie de la famille Lawless, scénario de Ed Brubaker, pour les illustrations Sean Philipps. Bas fond, Criminelles, Vengeance, Flic corrompu, une oeuvre sombre et violente, de la tension, de l'action, du suspense, une ambiance glauque et oppressante.
J'avais parlé sur l'ancien forum de Culturalivres de la future adaptation après Charlie Hunnam, Adria Arjona, Richard Jenkins on découvre que l'actrice Emilia Clarke va aussi faire parti du casting pour Prime Video.
Différent de ce qu'a pu nous proposer le duo d'artistes par le passé, ce comics est tout de même encore une fois très bon.
Ici, pas d'ambiance poisseuse malgré la présence de junkies. L'action prend place dans un petit quartier sympathique multiculturel, non sans défaut.
Ici, pas d'enquêteur alcoolique au passif douteux. Le lecteur est l'enquêteur, passant d'un suspect à un autre pour tisser la toile jusqu'à la révélation final.
"Là où gisait le corps" se révèle être un mélange de genres. Du polar bien sûr, mais aussi une histoire d'amour et un drame social à travers différentes tranches de vie.
J'ai trouvé encore une fois l'écriture très juste, surtout dans les séquences d'amour perdu où chacun s'invente une vie pour occulter la réalité.
Le final est surprenant, presque comique. Et sans être exceptionnel, il m'a surpris et en cela je le trouve reussi.
"Là où gisait le corps" n'est pas le meilleur récit du duo, mais reste tout de même une histoire de qualité que je prendrai plaisir à relire.
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