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Un livre exceptionnel pour mieux comprendre le Liban , la sincérité de l’auteur est un coup de poing !
Alors que Beyrouth suffoque je repense au combatif et très lumineux "Le jour ou Nina Simone a cessé de chanter" de Darina Al Joundi et Mohamed Kacimi. A découvrir pour les curieux de la ville, de ses défaites et ses peines. La lutte pour la liberté même dans le gouffre et la douleur.
Darina raconte sa vie au Liban, sa recherche d'elle-même, jeune femme très fidèle au rêve de son père, un journaliste épris de liberté. C'est cru, terrible, et émouvant. Une autobiographie sur fond de conflit, un "retour à la lumière"
C'est en quelques sortes le livre qui m'a rendu heureux puisque c'est un récit qui donne de l'espoir malgré les événements qui nuisent au bonheur. Darina Al-Joundi nous dit ici que l'important ce n'est pas le chemin mais c'est l'arrivée. Son arrivée en France est un aboutissement tant désiré que le pire reste derrière elle, ce long chemin qui l'a rendue plus forte aujourd'hui. Devenue artiste, comédienne, danseuse, elle retrace une période de sa vie où elle s'arrache aux obstacles qui l'ont privée de liberté.
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