"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Bienvenue dans le Paris du futur ! L’apocalypse a eu lieu : catastrophes naturelles, montée des eaux, submersions des côtes, pollution massive de l’eau et une guerre de l’eau, entre autres. L’eau est d’ailleurs devenue le bien le plus rare et le plus précieux. Celui qui suscite des convoitises, divise, celui pour lequel on tue.
Nos personnages principaux se font appeler Pitbull, Le Bourge, Sprite et Larbin. Une fille et trois garçons orphelins qui n’ont eu d’autre choix que celui de s’enrôler comme Waterbacks. Ils travaillent pour la Watercorp, une organisation mafieuse où la bande d’infortune doit livrer à leurs périls de l’eau à ceux qui peuvent encore s’en payer. Mais une livraison tourne mal et les amis sont contraints de fuir pour survivre. Waterbacks est un roman post-apocalyptique qui sensibilise sur la cause environnementale.
Qu’il fait chaud dans cette capitale de l’Après ! On suffoque, on a soif, on transpire comme nos héros. J’ai aimé l’univers décrit par Charles Mazarguil, qui m’a rappelé celui de Mad Max. L’action est très présente et ne laisse aucune place aux temps morts. J’ai aimé la course-poursuite effrénée et que les personnages se battent pour leur survie. Les dialogues sont acérés, et les répliques ne manquent pas de mordant. Une dystopie très réussie !
Ce roman parle de la guerre implacable et violente qui pourrait intervenir si la précieuse et nécessaire denrée qu'est l'eau pouvait venir à être très rare sur la planête. Une dictature pourrait profiter des autres par l'intermédiaire du trafic de l'eau. Cette histoire m'a très peu touchée car les personnages sont peu approfondis et la fin n'est pas vraiment aboutie (que deviennent les héros ?).
Isaac mène une vie de roi chez son maître...enfin c'était le cas avant d'être envoyé chez le cousin Hubert, à la campagne !!!
Il va devoir s'adapter à la dure vie de la ferme, mais aussi découvrir l'origine des mystérieux enlèvements frappant la basse-cour....
Dans ce tôle, les textes sont de Charles Mazarguil et les illustrations de Carolien Hüe.
Je ne les connaissais, mais j'ai bien apprécié leur spontanéité, leur humour, les traits de crayon.
Les dessins apportent de la légèreté, une meilleure compréhension...
L'entraide entre amis et le changement d habitudes sont mis en valeur dans ce roman.
Des personnages originaux, une histoire amusante, un style drôle, un bon tome.
Ce fut une lecture décevante pour moi. L'univers dépeint (l'enfer et sa galerie de personnages) était pourtant source pour moi de beaucoup d'attentes mais j'ai trouvé le scénario pauvre et sans enjeu. La plume de l'auteur est assez fluide mais vise un public plutôt adolescent. Les personnages sont superficiels et les scènes de prise de pouvoir sont survolées alors qu'il y avait beaucoup de matière. Pour ma part, je n'ai pas du tout trouvé le roman violent et sanglant.
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