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Arnaldur Indridason

Arnaldur Indridason

Arnaldur Indridason est un écrivain islandais né le 28 janvier 1961 à Reykjavik. Après des études d’histoire, ce fils d’écrivain devient scénariste puis critique de films. En 1997, Arnaldur Indridason publie son premier livre, Synir duftsins, inédit en français. Depuis, l’auteur s’est spécialisé ...

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Arnaldur Indridason est un écrivain islandais né le 28 janvier 1961 à Reykjavik. Après des études d’histoire, ce fils d’écrivain devient scénariste puis critique de films. En 1997, Arnaldur Indridason publie son premier livre, Synir duftsins, inédit en français. Depuis, l’auteur s’est spécialisé dans l’écriture de romans policiers. Il fait aujourd’hui partie des écrivains les plus populaires en Islande et connait une renommée internationale : ses livres paraissent dans plus d’une vingtaine de pays.

Les plus importants romans d’Arnaldur Indridason s’articulent autour de personnages récurrents, notamment le commissaire Erlendur Sveinsson. L’auteur a été récompensé pour plusieurs de ses romans par des prix scandinaves et européens tels que le Prix du polar européen du Point en 2008 pour L’Homme du lac. Certains livres, comme La Cité des Jarres, ont été adaptés pour la radio ou le cinéma.

Articles en lien avec Arnaldur Indridason (1)

Avis sur cet auteur (326)

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    Couverture du livre « Le roi et l'horloger » de Arnaldur Indridason aux éditions Metailie

    Fanfan La Tulipe sur Le roi et l'horloger de Arnaldur Indridason

    Un roman noir historique captivant qui nous montre une autre facette du talent de l'auteur islandais qui nous plonge cette fois-ci dans le XVIIIe siècle, où l'Islande est une colonie danoise. On découvre l'amitié improbable entre Jon Sivertsen, horloger islandais travaillant à Copenhague, et le...
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    Un roman noir historique captivant qui nous montre une autre facette du talent de l'auteur islandais qui nous plonge cette fois-ci dans le XVIIIe siècle, où l'Islande est une colonie danoise. On découvre l'amitié improbable entre Jon Sivertsen, horloger islandais travaillant à Copenhague, et le roi Christian VII, monarque mélancolique et marginalisé. L'auteur démontre ici une maîtrise parfaite du rythme et du suspense, même dans un cadre historique. Le roman, construit en courts chapitres, est un véritable page-turner. Ce roman nous parle de paternité, d'injustice, et des relations humaines. Il nous éclaire également sur la relation méconnue entre le Danemark et l'Islande, rendant ce roman aussi instructif que touchant. Magnifique, je suis vraiment fan de cet auteur quoiqu'il écrive!

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    Couverture du livre « La femme de l'ombre » de Arnaldur Indridason aux éditions Points

    Spitfire89 sur La femme de l'ombre de Arnaldur Indridason

    Un polar qui réside avant tout dans l’arrière-plan historique et la description. On s’habitue aux deux enquêteurs avec une belle amitié. Une intrigue captivante. Persistez même si le style narratif vous semble quelque peu pénible. Les retours en arrière nous confondent parfois.

    Un polar qui réside avant tout dans l’arrière-plan historique et la description. On s’habitue aux deux enquêteurs avec une belle amitié. Une intrigue captivante. Persistez même si le style narratif vous semble quelque peu pénible. Les retours en arrière nous confondent parfois.

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    Couverture du livre « La trilogie des ombres Tome 1 : dans l'ombre » de Arnaldur Indridason aux éditions Metailie

    Spitfire89 sur La trilogie des ombres Tome 1 : dans l'ombre de Arnaldur Indridason

    Arnaldur Indriðason auteur à succès nous livre une incroyable trilogie des ombres bien avant sa série Konrad.

    Attention cette trilogie n’est pas paru dans le même ordre en France et en Islande donc la chronologie de l’histoire varie. En Islande le tome 3 était paru en 1er partant d’une...
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    Arnaldur Indriðason auteur à succès nous livre une incroyable trilogie des ombres bien avant sa série Konrad.

    Attention cette trilogie n’est pas paru dans le même ordre en France et en Islande donc la chronologie de l’histoire varie. En Islande le tome 3 était paru en 1er partant d’une histoire débutant de 1944 vers 1941.

    Le premier tome dans l’ombre nous mène en 1941 avec le meurtre d’un commerçant itinérant retrouvé mort dans un hôtel à Reykjavik, l’homme était assassiné par une balle d’un colt en pleine tête. Le meurtrier à laisser une marque sur le corps un double S en lettre de sang. Flovent et Thorson mènent l’enquête dans une période délicate. Les enquêteurs portent leurs recherches sur des éventuelles soldats alliés venu lutté contre les nazi.

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    Couverture du livre « La cité des jarres » de Arnaldur Indridason aux éditions Points

    Christelle Point sur La cité des jarres de Arnaldur Indridason

    La découverte de la mort brutale d’un homme solitaire de 70 ans va amener Erlendur et son collègue Sigurdur Oli à remuer un bien vilain passé. Les horreurs découvertes dans le disque dur de la victime leur vite comprendre que ce Holberg a fait des victimes féminines pendant une bonne partie de...
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    La découverte de la mort brutale d’un homme solitaire de 70 ans va amener Erlendur et son collègue Sigurdur Oli à remuer un bien vilain passé. Les horreurs découvertes dans le disque dur de la victime leur vite comprendre que ce Holberg a fait des victimes féminines pendant une bonne partie de sa vie. Ce type, que l’on peut considérer comme un violeur en série, a-t-il enfin payé ses crimes impunis ?
    Plus je lis les aventures d’Erlendur d’Arnaldur Indridason, plus je comprends le succès important qui est le sien. Tomes après tomes, la personnalité d’Erlendur elle-même évolue assez peu ; personnellement je le trouve assez insaisissable, plus lisse que celle de Konrad de l’autre série. Mais les enquêtent s’enchainent dans une Islande de plus en plus moderne qui révèle à chaque volume un aspect peu reluisant du pays. L’enquête de « la Cité des Jarres » se déroule en 2001 mais elle remue un passé où l’Islande était un laboratoire parfait pour els études génétiques. Ce pays, petit et peu peuplé, longtemps replié sur lui-même, constituait un laboratoire à ciel ouvert pour étudier les maladies génétiques. J’appends à cette occasion que l’Islande a purement et simplement, sous couvert de science, catalogué tous les profils génétiques de sa population, avec les dérives possibles que l’on peut imaginer. Aux côtés d’Erlendur, nous voilà plongé dans la vie minable d’un violeur en série retrouvé mort, et qui aura laissé derrière lui beaucoup de chagrin et de violence. Comme d’habitude, et peut-être même encore plus que d’habitude, l’en quête est limpide, facile à suivre, briques par briques les éléments s’empilent pour arriver à une conclusion que l’on imagine (à raison) tragique. Voilà la force d’Indridason, la construction de ses polars est sans esbroufe, sans complications inutiles. Tout juste vient-il rajouter des petits éléments de sa vie personnelle ici ou là (une douleur à la poitrine qui l’inquiète, sa fille enceinte en plein sevrage) et une petite intrigue secondaire (la mariée qui s’enfuit le jour de son mariage), dont on aurait peut-être pu se passer puisqu’elle est vite solutionnée et n’apporte pas grand-chose au récit. « La Cité des Jarres » se lit vite et très facilement, d’aucun pourrait trouver que c’est de la littérature policière facile mais ce serait nier le plaisir tout simple que l’on à tourner les pages pour en savoir plus, chapitre après chapitre. Parfois, il ne faut pas chercher autre chose dans un polar que le pur plaisir d’enchainer les chapitres ! Je trouve ce tome là est un des plus réussi de la série, plus que le précédent chronologiquement « Les Roses de la Nuit » qui était moins convaincant.