Autour de la place d'Arezzo vit une des populations les plus huppées de Bruxelles. S'y croisent le fonctionnaire et l'étudiant, le bourgeois et l'artiste, la poule de luxe et la veuve résignée, ou encore la fleuriste et l'irrésistible jardinier municipal. Des couples, des solitaires, humbles ou orgueilleux, conquérants ou vaincus, tous gouvernés pas leurs passions, leurs fantasmes amoureux et sexuels. Jusqu'au jour où chacun reçoit une lettre, mystérieuse, identique : « Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé : tu sais qui. » Un message qui peut entraîner autant de promesses et d'attentes que de déceptions et de catastrophes, en fonction de l'interprétation qu'on lui donne...Une formidable encyclopédie de l'amour et des désirs, une ronde folle et farce. François Busnel, L'Express.Eric-Emmanuel Schmitt ne juge pas ses personnages. Il se contente de les comprendre. Ce qu'il fait avec finesse. Blaise de Chabalier, Le Figaro littéraire.
On suit la vie d'une quinzaine de couples ou personnages, tous avec leurs particularités, mais demeurant dans le même quartier envahi par des perroquets, ceux-ci assistant aux scènes variées. Certains vivent dans le célibat, d'autres en couple. Des couples unis mais aussi des couples qui ont besoin de déviances sexuelles pour tenir. Par exemple, l'un "saute" sur tout ce qui bouge, un autre va à la rencontre d'hommes. Une femme à la libido débordante, sans pour autant se cacher de son mari, multiplie les aventures, parfois sordides. Tout semble être figé dans leurs petites vies plus ou moins tranquilles jusqu'au jour où ils reçoivent une lettre d'amour anonyme. Certains d'entre eux s'imaginent savoir de qui provient le mot (ou non), d'autres comprennent la vérité : il s'agit d'un corbeau qui leur veut du bien. Qui ??? Les situations vont dès lors évoluer, de nouveaux couples se forment. Ca ne réussit malheureusement pas pour tout le monde.
Il faut s'y retrouver parmi tout ce petit monde mais c'est quand même plaisant lire. Ne pas y chercher plus qu'un petit divertissement un peu coquin.
On suit la vie d'une quinzaine de couples ou personnages, tous avec leurs particularités, mais demeurant dans le même quartier envahi par des perroquets, ceux-ci assistant aux scènes variées. Certains vivent dans le célibat, d'autres en couple. Des couples unis mais aussi des couples qui ont besoin de déviances sexuelles pour tenir. Par exemple, l'un "saute" sur tout ce qui bouge, un autre va à la rencontre d'hommes. Une femme à la libido débordante, sans pour autant se cacher de son mari, multiplie les aventures, parfois sordides. Tout semble être figé dans leurs petites vies plus ou moins tranquilles jusqu'au jour où ils reçoivent une lettre d'amour anonyme. Certains d'entre eux s'imaginent savoir de qui provient le mot (ou non), d'autres comprennent la vérité : il s'agit d'un corbeau qui leur veut du bien. Qui ??? Les situations vont dès lors évoluer, de nouveaux couples se forment. Ca ne réussit malheureusement pas pour tout le monde.
Il faut s'y retrouver parmi tout ce petit monde mais c'est quand même plaisant lire. Ne pas y chercher plus qu'un petit divertissement un peu coquin.
J’ai apprécié beaucoup de livres d’Eric Emmanuel Schmitt mais celui-ci est à part, je ne l’ai pas du tout aimé. Il y a beaucoup d’obscénités, de sexe assez sale. Pour moi c’est un ovni dans la bibliographie de l’auteur.
Autour de la place d'Arezzo à Bruxelles vit une trentaine des personnages du roman. Se croisent le fonctionnaire et l'étudiant, le bourgeois et l'artiste, la poule de luxe et la veuve résignée, mais aussi la fleuriste aigrie et l'irrésistible jardinier municipal, la complexée, le pervers, la vieille fille « addict » aux jeux …
Dans ce microcosme, chacun vit seul ou en couple mais chacun a sa vision propre de l’amour.
Un jour arrive une lettre anonyme, identique pour tous : "Ce mot simplement pour te signaler que je t'aime. Signé: tu sais qui."
Et là, chacun de rêver, d'y voir une promesse, un bonheur attendu, une blague, une menace… Dans tous les cas, pour tous, cela va avoir un retentissement, bon ou mauvais, à chacun son histoire.
On reconnaît là la « patte » d’E.E.S par la finesse et la justesse de la psychologie de ses personnages. On peut être surpris, choqué peut-être parfois … Moi, j’ai aimé parce qu’après tout, l'amour et la sexualité, c’est la vie.
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