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Fille de roi, épouse de roi, mère de roi et reine elle-même d'Écosse et de France, Marie 1ère Stuart, la catholique, meurt la tête sur le billot, à l'âge de 42 ans, le 8 février 1587, condamnée par sa cousine anglicane Élisabeth 1ère Tudor, reine d'Angleterre. À l'occasion de la sortie du nouveau roman de Ken Follett consacré à la rivalité qui oppose les deux souveraines dans l'Europe tourmentée du XVIe siècle, Historia retrace la destinée funeste de Marie Stuart, une femme et une souveraine à la personnalité complexe et revisite son mythe.
« En ma fin est mon commencement ». Tel est la devise, étonnamment prophétique, que Marie Stuart a brodé dans sa prison, avant son exécution. En 1603, son fils Jacques VI d'Écosse succèdera à Élisabeth sur le trône d'Angleterre.
Symbole d'identité nationale en Écosse, réhabilitée par la dynastie des Stuarts en Angleterre, Marie l'Écossaise, issue par sa mère de la puissante et ambitieuse famille des ducs de Guise, a comploté avec obstination contre sa royale cousine et n'a jamais cessé, toute sa vie, de faire le mauvais choix. Voici, retracé par les meilleurs spécialistes, l'itinéraire sanglant d'une reine trois fois maudite.
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