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C'est l'histoire d'un banc magique ! Lorsque vous vous asseyez sur ce banc, vous entrez directement dans l'histoire de votre choix. Soit une histoire que vous avez déjà lue, soit une histoire que vous imaginez.
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
C'est l'histoire d'un banc magique ! Lorsque vous vous asseyez sur ce banc, vous entrez directement dans l'histoire de votre choix. Soit une histoire que vous avez déjà lue, soit une histoire que vous imaginez.
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
Est-ce un banc ? Un livre géant échoué là un jour de grand vent ? Un toboggan pour petits enfants ? En tout cas un objet surprenant et tellement rassurant. Ce pourrait être aussi un classeur géant comportant de nombreuses rubriques, des repères historiques …bref une île magique où l’on oublierait, un instant, cette guerre tragique ,
Est-ce un banc ? Un livre géant échoué là un jour de grand vent ? Un toboggan pour petits enfants ? En tout cas un objet surprenant et tellement rassurant. Ce pourrait être aussi un classeur géant comportant de nombreuses rubriques, des repères historiques …bref une île magique où l’on oublierait, un instant, cette guerre tragique ,
Oui un peu de magie dans la vie ça ferait tellement de bien !
C'est l'histoire d'un banc magique ! Lorsque vous vous asseyez sur ce banc, vous entrez directement dans l'histoire de votre choix. Soit une histoire que vous avez déjà lue, soit une histoire que vous imaginez.
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
Celui-ci, les moineaux l’ont épargné,
Mais pas les pointes d’Opinel et de compas
Pour graver dans les lattes du bois,
Des lettres, des cœurs à jamais tatoués.
Ce banc je l’ai retrouvé, tant cherché.
Je venais lui raconter, les mots qu’on ne dit pas.
Et mes larmes cachées, en pensant à toi,
Si loin tout ça, mais jamais effacées.
Je t’ai tant aimée, sans jamais te l’avouer.
Ne venions ici nous assoir, fumer du tabac.
Ta bouche pleine de rire, si bien avec toi,
La peur de te perdre, m’a vu t’éloigner.
Assis sur ce banc, les yeux fermés,
C’est toi que je vois, presque dans mes bras.
Le banc magique, nous rapprochait chaque fois,
Puis dans un dernier tour, il disparu à jamais.
Au bout de quarante ans, j’y suis retourné.
Me convaincre que je n’avais pas rêvé de tout ça.
Excité comme un gosse, je reconnu l’endroit.
Une femme était là, ses yeux noisettes se mirent à briller.
Celui-ci, les moineaux l’ont épargné,
Mais pas les pointes d’Opinel et de compas
Pour graver dans les lattes du bois,
Des lettres, des cœurs à jamais tatoués.
Ce banc je l’ai retrouvé, tant cherché.
Je venais lui raconter, les mots qu’on ne dit pas.
Et mes larmes cachées, en pensant à toi,
Si loin tout ça, mais jamais effacées.
Je t’ai tant aimée, sans jamais te l’avouer.
Ne venions ici nous assoir, fumer du tabac.
Ta bouche pleine de rire, si bien avec toi,
La peur de te perdre, m’a vu t’éloigner.
Assis sur ce banc, les yeux fermés,
C’est toi que je vois, presque dans mes bras.
Le banc magique, nous rapprochait chaque fois,
Puis dans un dernier tour, il disparu à jamais.
Au bout de quarante ans, j’y suis retourné.
Me convaincre que je n’avais pas rêvé de tout ça.
Excité comme un gosse, je reconnu l’endroit.
Une femme était là, ses yeux noisettes se mirent à briller.
C'est l'histoire d'un banc magique ! Lorsque vous vous asseyez sur ce banc, vous entrez directement dans l'histoire de votre choix. Soit une histoire que vous avez déjà lue, soit une histoire que vous imaginez.
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
REPONSE à L’ACCROCHE DE KRYAN.
Assise sur un banc public, je ferme les yeux en pensant à la triste vie des SDF qui s’allongent sur ces bancs publics par tous les temps. Ils dorment encore et toujours dans la rue, même en hiver. Un vieillard aux cheveux et à la barbe blanches, apparait dans mon esprit ; c’est Victor Hugo. Il me dit : ce sont LES MISERABLES. (M) « Le soleil s’était couché. L’ombre se faisait autour de Jean Valjean. Il n’avait pas mangé de la journée ; il est probable qu’il avait la fièvre. Il claquait des dents, tremblait, grelottait et suait à la fois Au bout de quelques minutes, il se leva du banc convulsivement puis ses jarrets fléchirent brusquement sous lui comme si une puissance invisible le mettait soudainement à genoux, et il cria : - Je suis un misérable ! »
(M) Extrait du roman revu et corrigé pour coller à l’accroche.
Messages : 2100
Le 12/01/2024 à 07h35
Oui c'est sûr que c'est triste c'est très compliqué
Messages : 2100
Le 12/01/2024 à 07h36
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
Messages : 320
Le 12/01/2024 à 12h40
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
Super, c’est magique . Je m’y colle
Messages : 124
Le 12/01/2024 à 16h55
Est-ce un banc ? Un livre géant échoué là un jour de grand vent ? Un toboggan pour petits enfants ? En tout cas un objet surprenant et tellement rassurant. Ce pourrait être aussi un classeur géant comportant de nombreuses rubriques, des repères historiques …bref une île magique où l’on oublierait, un instant, cette guerre tragique ,
Messages : 2100
Le 13/01/2024 à 09h05
Moi aussi je m'y colle !
Messages : 2100
Le 13/01/2024 à 09h05
Oui un peu de magie dans la vie ça ferait tellement de bien !
Messages : 2100
Le 13/01/2024 à 09h06
Messages : 320
Le 14/01/2024 à 11h09
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
Celui-ci, les moineaux l’ont épargné,
Mais pas les pointes d’Opinel et de compas
Pour graver dans les lattes du bois,
Des lettres, des cœurs à jamais tatoués.
Ce banc je l’ai retrouvé, tant cherché.
Je venais lui raconter, les mots qu’on ne dit pas.
Et mes larmes cachées, en pensant à toi,
Si loin tout ça, mais jamais effacées.
Je t’ai tant aimée, sans jamais te l’avouer.
Ne venions ici nous assoir, fumer du tabac.
Ta bouche pleine de rire, si bien avec toi,
La peur de te perdre, m’a vu t’éloigner.
Assis sur ce banc, les yeux fermés,
C’est toi que je vois, presque dans mes bras.
Le banc magique, nous rapprochait chaque fois,
Puis dans un dernier tour, il disparu à jamais.
Au bout de quarante ans, j’y suis retourné.
Me convaincre que je n’avais pas rêvé de tout ça.
Excité comme un gosse, je reconnu l’endroit.
Une femme était là, ses yeux noisettes se mirent à briller.
Messages : 663
Le 14/01/2024 à 12h34
Mais pas les pointes d’Opinel et de compas
Pour graver dans les lattes du bois,
Des lettres, des cœurs à jamais tatoués.
Ce banc je l’ai retrouvé, tant cherché.
Je venais lui raconter, les mots qu’on ne dit pas.
Et mes larmes cachées, en pensant à toi,
Si loin tout ça, mais jamais effacées.
Je t’ai tant aimée, sans jamais te l’avouer.
Ne venions ici nous assoir, fumer du tabac.
Ta bouche pleine de rire, si bien avec toi,
La peur de te perdre, m’a vu t’éloigner.
Assis sur ce banc, les yeux fermés,
C’est toi que je vois, presque dans mes bras.
Le banc magique, nous rapprochait chaque fois,
Puis dans un dernier tour, il disparu à jamais.
Au bout de quarante ans, j’y suis retourné.
Me convaincre que je n’avais pas rêvé de tout ça.
Excité comme un gosse, je reconnu l’endroit.
Une femme était là, ses yeux noisettes se mirent à briller.
Très beau ce retour de la femme aimée.
Messages : 663
Le 14/01/2024 à 12h39
Allez, 1 2 3 partez pour un avenir, celui que vous avez choisi !
REPONSE à L’ACCROCHE DE KRYAN.
Assise sur un banc public, je ferme les yeux en pensant à la triste vie des SDF qui s’allongent sur ces bancs publics par tous les temps. Ils dorment encore et toujours dans la rue, même en hiver. Un vieillard aux cheveux et à la barbe blanches, apparait dans mon esprit ; c’est Victor Hugo. Il me dit : ce sont LES MISERABLES. (M) « Le soleil s’était couché. L’ombre se faisait autour de Jean Valjean. Il n’avait pas mangé de la journée ; il est probable qu’il avait la fièvre. Il claquait des dents, tremblait, grelottait et suait à la fois Au bout de quelques minutes, il se leva du banc convulsivement puis ses jarrets fléchirent brusquement sous lui comme si une puissance invisible le mettait soudainement à genoux, et il cria : - Je suis un misérable ! »
(M) Extrait du roman revu et corrigé pour coller à l’accroche.