Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

Pétrin, pétrin mais oui ! Le pain de mie qui traîne dans le placard depuis dix jours! Voilà la solution! Je découpe les tranches en 4, un tour sous le grill, un peu de ce pâté offert par mamie, et le tour est joué. Des toasts étouffe chrétien avec le pâté de mamie et quelques bières pour les copains. Zen, tout va bien. Je les installe devant le match de foot avec l'étouffe chrétien au pain de mie. Et moi, je fonce à la supérette en bas pour faire le plein de cacahuètes et autres apéritifs malsains, des bonbons, une bouteille de jus d'orange et

du thé glacé pour ceux qui ne boivent pas d'alcool et le tour est joué. Je remonte en vitesse. Ouf, les copains n'ont pas bougé, toujours affalés devant le match en bouffant le pain de mie au paté. Une heure après, il fait faim (ben oui, l'étouffe chrétien au pâté, cela ne cale pas son homme ou sa femme). Je commande des pizzas et de la glace. Avec les bonbons, cela a un petit côté régressif. On se régale. On boit, on rigole, tout va bien. Bonheurs assouvis, c'est ça non ? Réfléchissez avant d'agir... pourquoi ? On avaient parlé d'inattendu non. Ah non, celle là, c'est la rencontre inattendue. Mais bon, l'horoscope, vous y croyez vous ?

SUITE:
Le policier était charmant, il avait les yeux verts et le regard revolver. Je suis tombée sous le charme ! CYMONE

aha excellent!r! :D

Allez-y Samuel; écrivez à votre tour. Faites-nous goûter à votre prose. Lancez-vous dans l'aventure de nos ateliers d'écriture; nous vous accueillerons les bras ouverts. A bientôt alors ?

Bonjour,

Je vous propose une nouvelle accroche . Prendre le début d'un poème que vous aimez. Prendre ensuite le début d'un autre poème. Mélanger le tout comme vous le voulez. Écrire donc un nouveau poème. Tout est possible. Et même pour s'aider on peut s'octroyer quelques petites libertés...il n'est pas obligé que ça rime non plus!

Je commence!

Le début du poème "Il pleure dans mon cœur " de Verlaine est :

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleure sur la ville
Quelle est cette langueur

Le début du poème "Le Dormeur du val" de Rimbaud est :

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons


Mon nouveau poème avec donc un nouveau titre et un nouveau nom d'auteur est le suivant :

" Le dormeur du val qui pleure dans mon cœur de Verbaud."


Dans la ville où chante une rivière
Mon coeur en haillons
Pleure de langueur
Pour un trou de verdure
S'accrochant follement aux herbes.

REPONSE à l'ACCROCHE DE KRYAN
Mes 2 poèmes remaniés:
Les Vacances au bord de la mer. Michel Jonasz + Deux enfants au soleil. Isabelle Aubret
MON TEXTE:
On allait au bord de la mer
La mer sans arrêt roulait ses galets
Les cheveux défaits, ils se regardaient
Avec mon père, ma sœur, ma mère

Bonjour,

Je vous propose une nouvelle accroche . Prendre le début d'un poème que vous aimez. Prendre ensuite le début d'un autre poème. Mélanger le tout comme vous le voulez. Écrire donc un nouveau poème. Tout est possible. Et même pour s'aider on peut s'octroyer quelques petites libertés...il n'est pas obligéque ça rime non plus!

Je commence!

Le début du poème "Il pleure dans mon cœur " de Verlaine est :

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleure sur la ville
Quelle est cette langueur

Le début du poème "Le Dormeur du val" de Rimbaud est :

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons


Mon nouveau poème avec donc un nouveau titre et un nouveau nom d'auteur est le suivant :

" Le dormeur du val qui pleure dans mon cœur de Verbaud."


Dans la ville où chante une rivière
Mon coeur en haillons
Pleure de langueur
Pour un trou de verdure
S'accrochant follement aux herbes.

Bonne idée qui nous permet de relire quelques textes oubliés

Voici ceux que j’ai revus :
L’aveugle de Charles Péguy et Le premier arbre de Jules Supervielle


En t’attendant

Sept villes se vantaient d’avoir produit Homère


Mais il n’était pas né dans les sept à la fois.

C’était lors de mon premier arbre
J’avais beau le sentir en moi
Il me surprit par tant de branches
Il était arbre mille fois.

Ainsi par ma mère, l’histoire m’était contée
Du temps où je ne te connaissais pas.