J'ai lu rapidement ce roman, portée par l'envie d'en connaître le dénouement. Ce n'est vraiment pas le meilleur polar lu cet été, mais cela se tient assez bien. J'avoue avoir été un peu agacée par ces chapitres courts et cette rupture répétée dans le texte. A la longue, c'est usant.
j'aime bcp le commissaire Caffery, héros tourmenté, brutal, hanté par la mort de son frère. mais pr moi, on savait ce qui au final était arrivé à son frère. du coup, cela m'a un peu perturbée.…Pour le reste, un roman qui se lit facilement, très rapidement mais un peu léger, Mo Hayder nous a habitué à bien mieux, c'est un peu baclé.
Une nouvelle enquête du ténébreux inspecteur Jack Caffery, que j'ai retrouvé avec plaisir.
Ce que j'aime dans les livres de Mo Hayder, c'est que tout en étant très imbriqués les uns dans les autres, ils peuvent tout aussi bien se lire indépendamment des enquêtes précédentes.
Dans ce roman, nous retrouvons Jack, plus que jamais hanté par la disparition de son frère, qui pour obtenir des réponses à son sujet, devra s'en référer à un vagabond, et retrouver les propriétaires d'un petit chien.
Comme souvent dans les romans de Mo Hayder, en parallèle, nous découvrons les Anchors-Ferrers, famille londonienne relativement aisée, qui en retournant séjourner quelques temps dans leur maison de campagne, devront de nouveau faire face à un passé qu'ils pensaient enterré, et à deux cambrioleurs pas franchement sympathiques.
Un huis clos anxiogène, et un suspense haletant font de ce livre un véritable page-turner.
Une très bonne lecture, comme toujours avec cet auteure.
Mo Hayder a l'art de brouiller les pistes avec des romans d'inspirations différentes, "Tokyo", roman noir historique, "Pig Island, roman gothique, mais, et ce pour la 7ième fois revoilà l'inspecteur Caffery , toujours obsédé par la disparition de son frère.
Quinze ans auparavant les Anchor- Ferrers ont vécu l'horreur: un couple a été éviscéré dans le bois attenant à leur maison de campagne. Le cauchemar reprend quand cette famille est prise en otage et torturée pendant plusieurs jours par Deux faux flics.
Dés la première page l'inquiétude naît, et va en grandissant, heureusement que les chapitres sont très courts ce qui nous permet , pauvres lecteurs consentants de reprendre haleine et pied dans la vie dite normale.
Il est vrai que j'ai moi aussi eu beaucoup de mal à reposer ce livre, mais j'émettrai un tout petit bémol; ce suspense /thriller est bien plus descriptif que psychologique, et il ne parvient pas vraiment à rendre un personnage attachant.
Une violence certaine et gratuite, des passages gore très fréquents ...le pire n'est jamais bien loin!
Ce dernier roman de Mo Hayder est une fois de plus un roman qu'on ne lâche pas. J'adore ce style qui me transporte d'un scénario à un autre avec toujours comme fil rouge le commissaire Caffery, à la fois très professionnel mais aussi en quête de souçi personnel lié à la disparition de son frère. De page en page je m'enfonce dans l'horreur au coeur des Viscères des personnages et j essaie d'imaginer les futurs rebondissements. Et là où Mo Hayder est très forte c'est qu'elle nous amène vers un dénouement que l'on ne soupçonne à aucun moment. Mais où trouve t'elle cette inspiration toujours renouvelée et jamais répétée qui me fait passer un excellent moment mais toujours loin des repas, en effet certains passages sont vraiment horribles et crus. A éviter sur la digestion, à conseiller à tous les autres moments!
Quand les Anchor-Ferrers, le père, Oliver, la mère, Matilda et la fille, Lucia, arrivent dans leur propriété ″Les Tourelles″ sur les collines de Mendip Hills dans le Somerset…quand la mère découvre, au bas du jardin, dans un taillis, une scène…immonde, ils se retrouvent projetés quinze ans en arrière. A cette époque, en effet, à ce même endroit, un horrible double crime a été perpétré. Le tueur, pourtant emprisonné depuis, serait-il de retour ? La peur s’installe…d’autant que le téléphone ne fonctionne plus…
J’avoue que la première de couverture et le titre du roman de Mo HAYDER ″Viscères″, m’ont quelque peu déroutée et ouvrir le livre ne me fut pas si facile. Mais dès la première phrase, c’est important la première phrase d’un roman, j’ai été emportée et suis « entrée » dans ce thriller sans pouvoir en sortir avant la fin.
Je n’avais jamais lu d’ouvrages de cet auteur avant et ne me lancerai pas dans des comparaisons hasardeuses, mais en dehors de la couverture et du titre un peu ″too much″ et inutile, je dois dire que ″Viscères″ est une réussite totale. Mo Hayder avance, tranquillement, par chapitres courts, alternant le huis clos dans la maison des Anchor-Ferrers et l’enquête de Jack CAFFERY, homme sensible et fragilisé depuis la mort de son frère, vraisemblablement tué par un pédophile.
Tout est subtilement raconté, rien ne nous est épargné des scènes les plus horribles où le pire est toujours sûr. L’écriture, crue, sans fioritures, objective, précise, est d’une grande efficacité. Le rythme du texte, lent, posé entraîne une implacable montée de l’angoisse. L’auteur nous entraîne au fond des âmes redoutables des personnages et, jusqu’à la fin, nous perd dans les dédales de l’enquête. Rien de ce que l’on attend ne se passe et les surprises vont grandissant d’un chapitre à l’autre.
Oui, je ne crains pas de le dire, ″Viscères″ est un polar bluffant et je suis certaine de ne jamais avoir lu un roman du genre qui me tienne aussi fortement en haleine du début à la fin. Pour toutes ces raisons, je lui attribue 5 étoiles et conseille vivement sa lecture.
Mo Hayder, la reine de la terreur a encore frappé avec « viscères » son 7ème roman dans lequel le commissaire adjoint Jack Caffery mène une enquête officieuse .Nous avons un complot complexe, qui utilise comme toile de fond le viscéral, dans tous les sens du terme, le meurtre abominable de deux adolescents qui a eu lieu quinze ans auparavant, où un tueur est traduit en justice. Aujourd’hui, une famille aisée, vivant isolée, non loin du lieu du drame, est retenue en otage et terrorisée par deux intrus, mais a été capable de faire sortir un message SOS dissimulé dans le collier de leur chien.
Le chien est trouvé par le Marcheur , un voyageur qui cherche les restes de sa fille assassinée, et s’arrange pour que Caffery le rencontre .Les deux hommes sont liés par la disparition il y a des années du frère de Jack , Ewan victime d’un pédophile . En échange d’informations concernant la disparition de son frère, Caffery consent à trouver les propriétaires du chien et à résoudre le message sinistre qui dit simplement « aidez-nous » .Caffery n’a aucune idée de ce qu’il cherche mais est certain que c’est une course contre la montre.
Je ne connaissais pas du tout Mo Hayder et la lecture de « viscères » ne m’a pas déçu .Ce livre diabolique est génial. Comment une femme peut-elle avoir une telle imagination ? Les chapitres courts, qui alternent entre le huis clos de la prise d’otages et l’enquête de Caffery , donnent un rythme d’enfer au roman .J’ai été prise dans une sorte de spirale infernale où règne la violence , la brutalité .
La tension du huis clos va augmenter d’intensité au cours des chapitres et J’ai espéré que Caffery arrive à temps pour les sauver.
Mo Hayder sait trouver les mots justes pour rendre l’atmosphère angoissante, lourde, inquiétante. Les personnages se dévoilent peu à peu, montrant leurs vrais visages .Ils cachent tous bien des secrets .
Mo Hayder , m’a donné des indices qui m’ont conduite à de fausses pistes tout au long de ma lecture et de rebondissement en rebondissement elle m’a amené au dénouement final où les méchants ne sont pas du tout ceux que j’attendais . Je me suis fait avoir en beauté.
Ce terrible thriller m’a fait froid dans le dos ; mais une fois ouvert, impossible de le refermer. De plus j'envisage de lire les autres polars de Mo Hayder .
Ne passez pas à côté ce serait dommage . Je vous le recommande .
Mo Hayder est réputé pour ses polards et thrillers, alors moi qui adore les thrillers bien noirs, quoi de mieux qu’un roman portant le titre de « Viscères » pour découvrir cette auteur. Et je n’ai pas été déçue, dès les premières pages de ce roman, l’angoisse est palpable et ne nous quitte pas.
En jouant sur l’alternance des points de vue, avec des chapitres courts, l’intrigue se met peu à peu en place.
L’auteure nous balade d’un point à un autre, d’un personnage à un autre et si au début, on est un peu dérouté, on ne comprend pas le lien entre eux, au bout de quelques chapitres tout se met en place. On finit par apprécier Jack Caffery, s’attacher aux Anchors Ferrers, souffrir avec eux, on se prend à espérer que leur calvaire prenne fin et quand on croit que tout est fini, ce n’est pas le cas. Un ultime rebondissement nous prouve que Mo Hayder est un écrivain vraiment diabolique tellement la fin de ce roman est imprevisible.
Malgré tout, ce n’est pas un roman gore, comme son titre pourrait le faire penser. Tous les ingrédients du thriller sont réunis, suspens, action, angoisse mais les plus sensibles peuvent le lire sans crainte de cauchemar.
Un excellent thriller à lire sans hésiter, même si vous n’avez jamais lu les premiers romans de Mo Hayder et suivi les aventures de Jack Caffery.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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