Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Témoignage émouvant, mais témoignage un peu éteint.
Je n'ai pas eu d'entrain à la lecture et me suis un peu forcé.
Vu le récit, c'est peut-être naturel ?
Beaucoup d'ouvrages ont été consacrés aux poilus héros de la 1ère guerre mondiale, aux résistants de la seconde.
Mais personnellement, je n'avais jamais rien lu concernant les prisonniers de guerre durant la période 1939-1945. Pourtant près de 2 millions de jeunes gens ont perdu plusieurs années de leur vie, quand ce n'était pas la vie, prisonniers dans des camps dans des conditions terribles.
Jacques Tardi transpose en bande dessinée les souvenirs de captivité que son père, René, avait notés sur des cahiers d'écolier.
Il redonne voix à toute cette génération sacrifiée, n'ayant reçu aucune reconnaissance, considérés comme des perdants.
Tardi parle de son père, René, conducteur de char, prisonnier de guerre de la première heure, en 1940. Un récit touchant, pétri de colère, de honte et d'impuissance. 1680 jours de captivité. Une face méconnue de la guerre sous le trait caractéristique de Tardi, noir et épais. Utile
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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