Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Lu il y a quelques années
Je me rappelle d'une quatrième de couverture pleine de promesses, une écriture ampoulée et beaucoup de confusion malgré un sujet qui avait tout pour me plaire.
Très bien ,bonne lecture pour moi et les amis quelle belle suprise parfois mais pas toujours tres agreable et avec ses suspens il faut le lire pour decouvrir la suite et il est très bien
un peu confus,de bonnes idées mais mal liées
Pierre Assouline est un nom que tout lecteur invétéré ne peut ignorer, tant ses critiques littéraires se retrouvent un peu partout dans les médias écrits, audios voire visuels et autres sites!
En tant qu'écrivain, j'avais apprécié son "Double vie" en 2000 et vraiment été impressionnée par son "Lutétia" en 2005.
Mais alors là, avec "Les invités", je ne parlerai que de déception ! Qu'il est pris le prétexte d'un dîner à 13 pour y convier son employée de maison marocaine et y déployer toutes sortes de thèses allant à l'encontre du microcosme parisien bien pensant, m'a paru bien léger !
En dehors d'un style bien léché, je n'ai pas trouvé plus d'attrait à cette lecture ! Et j'en suis désolée !
C’est un dîner parisien bourgeois, entre gens bien nés, bien arrivés ou bien mariés.
Autour d’une personnalité diplomatique, Sophie Du Vivier réunit quelques-uns de ses convives réguliers. La maîtresse de maison sait les codes de la haute société et l’art de bien recevoir. Elle a tout prévu, mais une annulation de dernière minute, un invité inattendu et… voilà qu’ils sont treize à table. Pour l’une des convives, c’est inacceptable ; il faut vite trouver un quatorzième participant à ce diner.
Ce sera Sonia, la bonne. Objet de curiosité, elle devient le grain de sable qui vint enrayer la mécanique pourtant parfaitement huilée…
« Un dîner à Paris est en soi une comédie française. »
Pierre Assouline a l’écriture fluide, c’est une merveille à lire. Certains passages sont même jubilatoires. Mais il sait si bien éveiller l’intérêt de son lecteur que l’on en voudrait plus : plus de descriptions, plus de concret, les tenues, les coiffures, les plats ; plus de dialogues aussi, de réparties grinçantes ou hypocrites. On a l’impression de ne vivre qu’une partie de la scène, de survoler la soirée, alors qu’on voudrait y plonger, y être pour de bon, du début jusqu’à la fin. Il n’empêche : ce dîner-là est délectable.
Pas libraire, Fanfan, simple amateur ! J'ai acheté à ce jour une douzaine de livres, lecture et commentaires occupent une grande partie de mes journées depuis un mois... C'est beaucoup moins cher qu'une semaine de sports d'hiver ! Merci pour le compliment sur mes critiques.
FANFAN
A l'intention de M Dominique LEGER.
Je trouve vos commentaires très très nombreux, êtes vous libraire ? Mes moyens ne me permettent pas d'acheter tant de livres, une dizaine tout au plus, (je m'en suis laissé offrir deux pour la sainte Françoise)
sans rancune, ce qui n'enlève rien à la perspicacité de vos critiques
De Pierre Assouline, j'avais particulièrement aimé le bouleversant "Hôtel Lutetia", d'autant plus que je sortais a peine dela lecture de "Suite française" d'Irène Nemirowsky qu'évoque Pierre Assouline dans son livre. Il semble que son dernier roman soit d'un genre tout à fait different. Mais les commentaires de M Léger et sa comparaison avec le théâtre que je fréquente assidûment me donnent envie d'y fourrer mon nez (En plus, ma libraire n'est pas en vacances!)
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !