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La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le coeur des humains : cent cinquante poèmes (1991-1998)

  • Un recueil de poésie ludique, par un mathématicien facétieux. Le lecteur repère des références ou clins d'œil humoristiques à Apollinaire ("Le Pont Mirabeau"), Baudelaire, Hugo ("Booz endormi") ou aux sonnets de la Renaissance, mais aussi à Jacques Réda, Raymond Queneau, Claude Roy… Le poète joue avec les nombres, mais aussi avec la géométrie, et dessine même la rue dans le poème. Il inventorie à la Prévert des noms de rues, de stations de métro, des listes d'annuaires, manie la contrepèterie, le calembour… Parfois on rit franchement, à d'autres endroits on trouve quelques facilités ou vulgarités, mais dans l'ensemble on s'amuse bien !

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